Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (I)
Véronique Mermoud, doyenne des comédiennes avec lesquelles je me suis entretenue, remporte haut la main la palme de la punk attitude. Une rencontre ne suffira pas à faire le tour de sa personnalité, tant elle est fournie. Nous remettrons le couvert quelques semaines plus tard, focalisant, après la question théâtrale, son rapport au politique, même si dans sa trajectoire, les deux sont intriqués. Sous la chevelure grisonnante de la grande dame, vrombit l’indomptable esprit d’une éternelle rebelle.
Lorsque cette Reine du théâtre romand – que je vis interpréter une Agrippine hiératique dans le Britannicus de Gérard Desarthe en 2008 – me rejoint en chair et en os en terre veveysanne ; elle ne me laisse pas de marbre. Elle impressionne. Sous elle, la chaise devient trône. Elle parle bas et calmement. Elle observe avant de parler. Elle avoue ; chaque immersion « en ville » la déboussole un peu. Elle vit depuis 40 ans avec sa compagne Gisèle Sallin dans un paradis de verdure, au cœur d’un hameau dans le canton de Fribourg. Tout juste sortie de 2 heures d’écossage de petits pois, Véronique atterrit donc doucement à mes côtés. Elle évoque son el dorado fleuri et je découvrirai un peu plus tard que son langage peut l’être aussi.
Après cette entrée en matière bucolique, voici la 1ère partie d’un échange en deux temps.
Article signé Laure Hirsig

Véronique Mermoud en 2024 ©Laure Hirsig
Ma mère est à l’origine de mon parcours artistique. Sans elle, je ne sais pas ce que je serais devenue mais je n’avais, a priori, aucun intérêt pour le théâtre.
Vous avez consacré votre vie au théâtre ? Comment tout cela a commencé ?
Dernière d’une famille de cinq enfants, j’étais un vrai petit démon, très dissipée à l’école alors que ma mère était institutrice. Nos parents souhaitaient que nous ayons tous un “hobby culturel”. L’une de mes sœurs faisait du chant, l’autre de la sculpture et du dessin, l’un de mes frères jouait du piano, l’autre était un touche-à-tout doué.
Moi ? Je voulais juste faire l’imbécile au parc avec mes copains. Un jour, l’une des collègues de ma mère lui confie dans la cour d’école : « ta fille est incroyable ; elle déclame des poèmes comme personne et elle a une de ces présences… ». Dès lors, ma mère m’a encouragée à suivre des cours de diction. « Je ne te forcerai pas, mais essaie » m’a-t-elle simplement dit.
J’ai intégré le cours de la comédienne et pédagogue Germaine Tournier. Elle avait une quarantaine d’années de plus que moi et de l’autorité. J’ai eu un coup de foudre. Elle n’a rien essayé de calmer ou de corriger en moi, elle m’a prise exactement comme j’étais mais m’a poussée à travailler des textes extrêmement difficiles comme Le Bateau ivre de Rimbaud par exemple. Elle m’a fait travailler avec toutes mes violences, mes colères. J’ai eu le déclic. J’avais 15 ans.
Ma mère est à l’origine de mon parcours artistique. Sans elle, je ne sais pas ce que je serais devenue mais je n’avais, a priori, aucun intérêt pour le théâtre.
Dès lors, vous n’avez plus décroché ?
Plus jamais. Pendant 4 ans, j’ai suivi les classes de Germaine Tournier au Conservatoire de musique parce que mes parents n’avaient pas les moyens de m’inscrire au Conservatoire de Genève. À 19 ans, j’ai passé le concours de fin d’étude. Gérard Carrat et Richard Vachoux participaient au jury. Ils ont conseillé à mes parents de m’envoyer tenter le concours du Conservatoire d’Art Dramatique de Paris « parce qu’avec le talent qu’elle a, ici, ce ne sera pas assez costaud pour elle » ont-ils ajouté. 6 mois après, j’étais censée passer ma maturité mais j’ai tout arrêté. J’ai obtenu une bourse de la Ville de Genève et travaillé durant ces 6 mois à l’hôpital pour mettre de côté l’argent nécessaire à mon départ.
J’ai réussi le concours du Conservatoire de Paris où je suis entrée en octobre 1967 et en mai… eh bien, il y avait 68 ! J’y ai naturellement pris part mais cela m’a coûté cher. J’avais le profil de cheffe de file. Mes camarades m’ont désignée comme représentante des élèves du Conservatoire auprès de la direction. J’ai défendu toutes les revendications à fond sans imaginer une seconde que je serai sanctionnée à cause de cela. La punition m’est tombée dessus 3 ans plus tard en 1971 au moment du concours de sortie que l’on ne m’a pas autorisée à passer. J’ai quand même suivi les 4 ans d’études du Conservatoire de Paris, la seule chose importante à mes yeux finalement.
À la sortie du Conservatoire de Paris, nous avons fondé une troupe avec cinq camarades. Travailler seule ne m’intéressait pas. Passer de casting en casting non plus ; c’était #meetoo avant l’heure.

Véronique Mermoud en 1986 ©Malou Wattenhofer
Vous débutez comme jeune comédienne à Paris dans les années 70, quels souvenirs en conservez-vous ?
Nous avons fondé une troupe avec cinq camarades du Conservatoire. Travailler seule ne m’intéressait pas. Passer de casting en casting non plus ; c’était #meetoo avant l’heure. Quand les comédiennes arrivaient en audition, on regardait d’abord leurs seins, leur sexe, puis enfin leurs yeux. Je me suis vite rendue compte que si je ne couchais pas, je n’aurai rien. Je me souviens d’une audition pour le rôle de Phèdre durant laquelle le metteur en scène me balance : « tu comprends chérie, Phèdre c’est le dénuement le plus total, alors déshabille-toi et nous allons voir ce que tu donnes quand tu joues nue ». Je lui ai fait un doigt d’honneur et je suis partie ! Tant pis pour la carrière, je rentre en Suisse me suis-je dit. Je n’ai aucun regret car il aurait fallu accepter des choses que je ne voulais absolument pas faire.
En Suisse, j’ai travaillé tout de suite. Contrairement à aujourd’hui, il y avait à l’époque beaucoup de travail. Ici, jamais je n’ai dû passer d’audition. Et je n’ai jamais été au chômage sauf après L’Oiseau vert de Gozzi, mis en scène par Besson en 1982. Comme j’avais participé à trois spectacles avec lui, dans le milieu, on pensait que je ne travaillais qu’avec lui.
Pouvez-vous nous parler de votre rencontre déterminante avec Gisèle Sallin ?
Je l’ai rencontrée au retour d’un voyage de 2 mois en Inde. Je reviens à Genève fauchée et je vais demander du travail à deux amis, William Jaques et Jean Vigny, qui mettaient en scène La Revue de Genève. Ils avaient déjà distribué l’ensemble des rôles mais ils m’ont proposé de gérer les accessoires. Comme je suis grande et que j’ai une voix grave, ils m’ont également rapidement demandé de jouer la meneuse de revue, avec smoking et chapeau claque. Je dansais, je chantais tout en poursuivant mon travail d’accessoiriste.
Gisèle, quant à elle, y jouait 20 petits rôles et devait se changer tout le temps. Parmi ses multiples accessoires, figuraient un calepin et un stylo. Un soir, en préparant la mise, j’ouvre le calepin. Elle y avait inscrit : « Merci, ce petit travail que tu fais m’est indispensable. Signé : Gisèle ». J’ai répondu sur le calepin. Nous nous sommes écrit durant toute la période de jeu. À la fin, nous échangions des poèmes. Après les représentations, il était fréquent que nous allions prendre un verre avec l’équipe, qui était fort sympathique. Rapidement, Gisèle et moi avons commencé à parler théâtre. Nous nous sommes rendu compte que nous partagions les mêmes manques et les mêmes désirs. Elle m’a confié qu’elle avait envie de mettre en scène mais elle n’osait pas, par manque d’expérience. Je lui ai proposé de choisir un texte et de me mettre en scène. Elle m’a présenté un monologue : Le Théâtre d’Emma Santos. Nous nous y sommes mises dès la fin de La Revue. La veille de la Première, j’ai eu un accident domestique grave. Tout mon dos a été brûlé, mes muscles endommagés. Dans mon délire, je disais au médecin : « je dois être sur scène demain ». Je suis sortie 4 mois plus tard de l’hôpital avec des séquelles à vie.

“Le Théâtre” d’Emma Santos, m.e.s. Gisèle Sallin (1978-1979) ©Malou Wattenhofer
Parlez-nous des Osses ? Que signifie “Osses”?
Les Osses est un lieu-dit, situé près de Châtel-Saint-Denis dans le canton de Fribourg, où des ossements mérovingiens ont été retrouvés. Le théâtre étant un art ancestral, une sorte d’ossature qui tient tout le reste, nous l’avons adopté pour baptiser notre projet. En plus, le mot est intéressant graphiquement.
L’aventure a commencé dans le Jura, avec Le Théâtre d’Emma Santos le 9 mars 1978 au Caveau du Château à Delémont, pièce que nous avons ensuite tournée en Suisse romande, en France et au Canada durant 2 ans.
Le premier spectacle créé dans le canton de Fribourg a été Antigone de Sophocle avec une subvention de CHF 50’000.-
Partant du constat qu’il n’y avait pas de rôles intéressants pour les femmes, nous avons monté des pièces pour contrer ce déséquilibre. Cela n’a malheureusement pas énormément changé depuis, c’est dramatique…
Quelle vision artistique et politique défendiez-vous aux Osses ?
Partant du constat qu’il n’y avait pas de rôles intéressants pour les femmes, nous avons monté des pièces pour contrer ce déséquilibre. Cela n’a malheureusement pas énormément changé depuis, c’est dramatique…
Choisir de monter Antigone comme projet fondateur n’était pas anodin. Le personnage principal et mythique d’Antigone était joué par une toute jeune comédienne. Nos Femmes savantes de Molière défendaient l’idée que les femmes peuvent s’instruire et qu’elles sont aussi intelligentes que ces Messieurs. Dans L’Orestie d’Eschyle, la déesse Athena fonde l’idée de justice et la met sur pied.
Ce que je veux dire par-là, c’est que nous nous évertuions à trouver des pièces avec des rôles de femmes puissantes. Et surtout, nous veillions à ce qu’il y ait autant de femmes que d’hommes dans les distributions. Nous engagions à nos côtés les acteurs hommes capables de comprendre nos revendications, et ils étaient nombreux.
Et si vous deviez résumer en quelques mots les valeurs défendues aux Osses ?
“Respect” et “sens” guidaient l’ensemble de notre fonctionnement.
Plus que tout, nous veillions au respect des textes classiques et contemporains. Lorsque l’on choisit de monter un texte, autant éviter de le triturer dans tous les sens. Il faut respecter la pensée qu’il véhicule. Les choix de textes sont éminemment politiques. Et pour que le sens d’un texte surgisse, il faut d’abord le comprendre. Trop souvent, j’ai l’impression que les acteur.ice.s ne comprennent pas ce qu’ils ou elles disent et cela me désole. Les accents toniques, la ponctuation disparaissent peu à peu et certaines phrases perdent leur sens juste à cause de cela.
Prendre la parole est une chance incroyable mais monter sur un plateau engage aussi la responsabilité d’y porter une pensée et de respecter le public. Il ne faut jamais tricher quand on joue. Cela peut arriver de ne pas se sentir bien, mais les spectateur.ice.s ne doivent pas le percevoir. La qualité de l’accueil – qui incluait le respect du public – a contribué au succès des Osses car tous se sentaient chez eux et respecté.e.s.
Au niveau du fonctionnement interne, nous respections les espaces communs. Les hommes urinaient assis, ou s’engageaient à nettoyer après leur passage. Nous ne jetions pas nos costumes par terre en loges à la fin de la représentation. Bref, nous prenions soin de notre outil de travail. Nous prenions également soin des équipes. Cette vigilance consistait, entre autres choses, à ne tolérer ni alcool, ni drogues pendant le travail. Avant et après, chacun.e fait ce qu’il et elle veut mais au théâtre, il fallait être clean. C’est juste du professionnalisme.
Dans le milieu, nous étions très critiquées au début. Nous passions pour des bourreaux de travail. Le mot “esclavage” a même été utilisé, parce que nous jouions des représentations scolaires le matin. Mon caractère tranché et ma franchise me valaient une réputation qui ne correspondait pas à qui j’étais véritablement. Sans doute, y avait-il un peu de jalousie car nous avions empoigné notre liberté à bras-le-corps et ouvert notre propre lieu en campagne, en dehors de l’urbanité de Genève ou Lausanne. Nous en avons bavé pendant 5 ou 6 ans, puis ce même milieu nous a reconnues car des acteurs influents, à l’instar de Roger Jendly ou encore Gérard Carrat, témoignaient de leurs excellentes expériences chez nous.
Enfin, nous nous battions pour valoriser le travail artistique. Je ne pense pas que cela ait changé, peut-être même est-ce pire aujourd’hui, mais à l’époque, les répétitions duraient 6 semaines pour seulement 10 jours de représentation. 10 jours ne suffisent pas pour que les acteurs puissent exploiter leur rôle et l’œuvre. Ils ne suffisent pas non plus pour que le bouche-à-oreille se fasse. Aux Osses, nous étirions donc la durée de jeu, de sorte qu’elle soit au moins aussi longue que la durée des répétitions, c’est-à-dire au minimum 30 représentations.
Qu’en est-il de Benno Besson, dans votre parcours ?
Entre 1982 et 1985, l’arrivée de Benno Besson à la direction de La Comédie de Genève a coïncidé avec notre suspension d’activité au Théâtre des Osses. Il nous a engagées toutes les deux ; moi comme comédienne et Gisèle comme assistante. Nous y sommes restées 3 ans mais cela s’est mal terminé car je me suis fâchée avec lui.
Prendre la parole est une chance incroyable mais monter sur un plateau engage aussi la responsabilité d’y porter une pensée et de respecter le public. Il ne faut jamais tricher quand on joue.

Diotime et les lions_ d’Henry Bauchau, m.e.s. Gisèle Sallin (1994-95) ©Mario del Curto

Véronique Mermoud et Marika Dreistadt dans _Les Femmes savantes_ de Molière, m.e.s. Gisèle Sallin (2010-11) ©Isabelle Daccord
Pour quelle raison ?
Féministe convaincue, active au sein du mouvement d’émancipation des femmes dès les années 80, je défendais âprement l’égalité salariale. Or, en 1982 sur L’Oiseau vert que Benno Besson mettait en scène, j’étais – pour un rôle équivalent alors que nous avions le même âge et la même expérience – payée CHF 500.- de moins que l’un de mes partenaires. J’ai eu la chance que cet acteur me confie son salaire. Estimant cette différence intolérable, je me suis battue comme une dingue contre La Comédie qui s’est vue contrainte, à défaut d’arguments, de me donner ce que je demandais. Le retour de bâton n’a pas attendu pour se faire sentir ; je n’ai pas été réengagée à la fin de ce spectacle pour le suivant. À l’époque je siégeais au syndicat. Dans ce cadre, j’ai mené une étude qui démontrait que les femmes travaillaient 50% de moins que les hommes ; un écart colossal ! Nous avions moins de boulot et étions moins payées parce qu’il y avait moins de rôles féminins dans le répertoire théâtral et, en plus, nous étions – pour des engagements similaires – moins bien payées ! D’où l’importance d’être libres de monter les textes de notre choix et d’offrir aux femmes, des contrats payés comme ceux des hommes. Mon éviction de La Comédie ne m’a pas traumatisée. J’avais tant appris. Benno et moi avions bien travaillé ensemble. Il m’a offert l’opportunité de participer à des spectacles extraordinaires.
Avec Gisèle, le désir de reprendre les Osses devenait ardent. En tant que fribourgeoise, elle connaissait le territoire et les gens comme sa poche mais il nous manquait un espace de travail. Pour faire du théâtre, il ne faut pas seulement être passionné.e, il faut aussi avoir de la chance. Nous en avons eu. Gisèle lit dans le journal qu’un certain Monsieur Bernard Vichet architecte-entrepreneur veut créer un village moderne à Givisiez, à l’intérieur duquel il prévoit d’implanter un théâtre ! Gisèle est allée le voir et il a eu le coup de foudre pour notre projet. Mais la malchance a fini par frapper la chance. En 1990, la crise économique a engendré une hausse des taux d’intérêt sur les emprunts qui a provoqué l’abandon du projet et le départ de Bernard pour l’Espagne. Bernard était un homme exceptionnel ; en partant, il nous a octroyé un bail de 20 ans sans loyer, qui nous a protégées et permis de créer la fondation qui a ensuite racheté les locaux.
Nous avons rassemblé les fonds nécessaires pour les travaux de transformation. Cet espace allait se métamorphoser en salle de spectacle ! Nos forces conjuguées, auxquelles se sont ajoutées celles de nos trois collaborateurs : Jean-Christophe Despond aux éclairages, Anne Jenny comédienne et sa sœur Marie-Claude Jenny qui gérait l’administration, ont permis l’ouverture du théâtre. À cinq, nous étions extrêmement productifs. Gisèle et moi sommes parties il y a 10 ans, en 2014. J’avais 67 ans, elle 65. Jean-Christophe a fini par partir aussi. Anne et Marie-Claude y sont toujours actives.
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Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce quatrième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Molo.

Djamel Bel Ghazi, tempête sous un crâne
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce troisième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Djamel Bel Ghazi.

Aux Teintureries, Nathalie Lannuzel fait “bouger les lignes”
Ouverte en 1997 sous l’impulsion de François Landolt, l’école supérieure de théâtre Les Teintureries à Lausanne cultive l’altérité et valorise l’audace. Rencontre avec sa directrice artistique, Nathalie Lannuzel.

Xavier Loira, dandy cash
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce deuxième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Xavier Loira.

Boubacar Samb, sentinelle sans tabou
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce premier volet d’une série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien d’origine sénégalaise, Boubacar Samp.

Carlo Brandt, l’homme renversé (II)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Second et dernier chapitre d’un entretien sans fard.

Carlo Brandt, l’homme renversé (I)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Premier chapitre.

Julia Perazzini chatouille l’invisible – Fatal(e)s VI
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce dernier volet, elle se laisse entraîner par la comédienne Julia Perazzini dans les limbes de l’enfance.

Isabelle Caillat au coeur de la crise
La comédienne genevoise s’impose en femme de tête et de coeur dans « Cellule de crise », nouvelle série signée Jacob Berger qui nous dévoile les arcanes de l’humanitaire. Entretien à la veille de la diffusion.

Prune Beuchat, comme un ouragan – Fatal(e)s V
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce 5e volet, on croque dans une Prune qui ne compte pas pour des prunes!

Olivier Lafrance, entretien avec un vampire – Fatal(e)s IV
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Le comédien Olivier Lafrance se prête à ce jeu d’ombre.

“Je suis pour les quotas d’auteur.e.s suisses”
A la suite de notre enquête sur le statut de l’auteur.e en Suisse romande, le dramaturge et metteur en scène Julien Mages défend l’idée d’une écriture typiquement “suisse”.

Pour Camille Giacobino, le ciel peut attendre – Fatal(e)s III
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Amour et mort, deux thèmes que fréquente régulièrement Camille Giacobino, comme comédienne ou comme metteuse-en-scène.

Y’a-t-il encore un.e auteur.e dans la salle?
Acteur.trice à la fois central et à part, l’auteur.e d’un spectacle ou d’un film doit composer avec des contraintes qui laissent peu de place à l’ego. Trois d’entre eux/elles nous parlent de leur pratique.

Cédric Leproust, le Garçon et la Mort – Fatal(e)s II
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Au comédien Cédric Leproust de nous entraîner dans le territoire des ombres.

Julia Batinova, l’art de la fougue – Fatal(e)s
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig inaugure une nouvelle série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Première à s’y coller, la comédienne Julia Batinova.

Alain Mudry, colosse au clair de lune
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce sixième “Traversée en solitaire”, on se met sur orbite avec Alain Mudry.

Serge Valletti brise le glas à Avignon
Acteur, auteur, scénariste aux côtés du réalisateur Robert Guédiguian, Serge Valletti a mis du baume aristophanesque sur les plaies du festival avorté. Rencontre.

Arblinda Dauti, la perle noire
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce cinquième “Traversée en solitaire”, on se fait la belle avec Arblinda Dauti.

David Valère, l’homme debout qui met le chaos K.O.
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce quatrième “Traversée en solitaire”, on fend les flots avec David Valère.

Olivia Csiky Trnka, l’extra-terrienne
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce troisième “Traversée en solitaire”, on décolle aux côtés d’Olivia Csiky Trnka.

Raphaël Vachoux, sans peur ni reproche
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce deuxième “Traversée en solitaire”, on embarque aux côtés de Raphaël Vachoux.

Jacques Michel, l’échappée belle
En six décennies de carrière, le comédien a endossé tous les costumes. Acteur dans tous les sens du terme, il a construit une histoire qui déborde la sienne, celle du théâtre romand. Portrait.

Lola Giouse, Miss en tropisme
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude, ses charmes comme sa nocivité dans leur parcours et leur pratique. Pour cette première “Traversée en solitaire”, on largue les amarres avec Lola Giouse.

Françoise Boillat La Dame du lac – Le théâtre dans la peau (VI)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Sixième acte avec la comédienne Françoise Boillat.

Un dernier café avec Michel Piccoli
L’acteur nous a quitté le 12 mai, à l’âge de 94 ans. En guise d’hommage, des extraits inédits d’un entretien accordé à Lionel Chiuch à l’occasion de la tournée de “Minetti”, de Thomas Bernhard.

Julien TSONGAS Préda(c)teur- Le théâtre dans la peau (V)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Cinquième acte avec le comédien Julien Tsongas.

Sandro De Feo Mutant mutin mutique-Le théâtre dans la peau (IV)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Quatrième acte avec le comédien Sandro De Feo.

“Il reste dans la culture une sorte de mépris de classe”
Après un septennat à la tête du GIFF, Emmanuel Cuénod s’apprête à en remettre les clés. Dans un long entretien sans langue de bois, il nous parle du festival genevois et donne quelques coups de griffe à la politique culturelle suisse.

François Revaclier Le spirituel danse l’art – Le théâtre dans la peau (III)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Troisième acte avec le comédien François Revaclier.

Valérie Liengme La créature – Le théâtre dans la peau (II)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Deuxième acte avec la comédienne Valérie Liengme.

Joëlle Fontannaz La magnétique au magnéto – Le théâtre dans la peau (I)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Premier acte avec la comédienne Joëlle Fontannaz.

Monica Budde, la voix libre
D’Andromaque de Racine au personnage de A de Sarah Kane, la comédienne Monica Budde campe des femmes qui, comme elle, ne s’en laissent pas conter. Portrait en toute liberté.

Braqueur de banques!
Alors que la saison 2 de « Quartier des banques » débarque sur les écrans, son réalisateur, Fulvio Bernasconi, nous parle de son rapport aux comédien(ne)s.

“Molière écrit pour sauver les meubles”
Aussi à l’aise chez Molière que chez Ionesco, Michel Bouquet, 94 ans, a voué sa vie aux auteurs. Il les évoque ici.

“L’avantage ici, c’est le Système D”
A la Chaux-de-Fonds, pays des merveilles mécaniques, on croise moins de lapin blanc que de drapeau noir. La comédienne Aurore Faivre brandit celui d’un théâtre qui ose et qui place l’humain au centre.

“Il faut rester punk dans l’âme” – Cherchez l’enfant avec Fréderic Polier
Acteur, metteur en scène, raconteur d’histoires et tricoteur de fictions, Frédéric Polier continue de croiser le fer pour un théâtre généreux et rebelle.

Daniel Vouillamoz: “Nous vivons l’époque du théâtre selfie”
Avec l’amour, la haine n’est jamais très loin. Acteur, auteur, metteur en scène mais aussi musicien, Daniel Vouillamoz effeuille volontiers la marguerite quand il parle de théâtre, cet « art pathétiquement inutile et pourtant essentiel ».

Gilles Tschudi: “C’est vrai, je ne connais pas de barrière”
Acteur puissant et subtil, Gilles Tschudi n’hésite pas à se mettre à nu, comme dans « Souterrainblues », mis en scène par Maya Bösch il y a près de dix ans au Grütli. Mais l’homme dévoile volontiers aussi ce qui « l’agit » et dresse ici une véritable métaphysique du jeu.

Jean-Luc Borgeat: “Le personnage, je ne sais pas ce que c’est”
Acteur, metteur en scène, écrivain, Jean-Luc Borgeat ne boude la parole que lorsqu’il se pose au bord d’un cours d’eau pour pêcher à la mouche.

Théâtre des Osses, théâtre de chair
On prend les chemins de traverse jusqu’à Givisiez pour y rencontrer Geneviève Pasquier et Nicolas Rossier. Leur nouvelle saison regarde la planète en face.

Sarah Marcuse: Tribulations avignonnaises
En 2018, la comédienne et metteure en scène genevoise Sarah Marcuse s’est frottée au Festival Off. Elle en rapporte un témoignage fort que nous reproduisons ici avec son aimable autorisation.

Carole Epiney, névrosée à temps partiel
Elle était impeccable dans « Les névroses sexuelles de nos parents ». La valaisanne Carole Epiney affronte les aléas de la vie de comédienne romande avec une belle énergie.

On ne peut pas être aimé par tout le monde
Difficile, l’exercice du casting? Pour comedien.ch, Nathalie Chéron, trente ans à chercher la perle rare, livre quelques « trucs » pour faire baisser la pression.

Il y a plus de compagnies que de films
Critique à la Tribune de Genève, Pascal Gavillet est un habitué du cinéma suisse, dont il connait bien les mécanismes. On fait le point avec lui.

Serge Martin cultive l’esprit d’équipe
Pour celui qui a créé sa propre école à Genève il y a maintenant plus de 30 ans, le théâtre reste une histoire de partage.
Toutes les rencontres
Tatiana Baumgartner à vif et sans fard
“J’ai découvert que j’aimais écrire du théâtre. Les dialogues, les interactions, double sens et sens cachés dans ce que les gens disent. La manipulation derrière le langage.”
Entretien signé Delphine Horst
Entretien avec Toni Teixeira, créateur costumes – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig
Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (II)
Entretien signé Laure Hirsig
Pierre Monnard, le cinéma et ses multiples ingrédients
Propos recueillis par Sami Kali
Dorothée Thébert, photographe de plateau – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig
« 200 francs, ça suffit ! » : Danger pour la RTS, la culture et la fiction
Propos recueillis par François Marin
Cyprien Colombo La vie n’est pas un long flow* tranquille
Article signé Laure Hirsig
Wave Bonardi et Julia Portier : Vertige de l’humour
Entretien signé Marie Lou Félix
Davide Brancato, king of the glam – Ubiquité (acte VII)
Entretien signé Laure Hirsig
Dominique Bourquin, les angles pas droits
Propos recueillis par Delphine Horst
Leon Salazar, le charme de l’ambivalence – Ubiquité (acte VI)
Entretien signé Laure Hirsig
Yvette Théraulaz : un peu, beaucoup ; à l’infini
Propos recueillis par Marie Lou Félix
Entretien avec Danielle Milovic – L’Empire des signes [Acte 3]
Entretien signé Laure Hirsig
Arcadi Radeff, la quête instinctive
Propos recueillis par Sami Kali
Maurice Aufair, acteur découvreur
Propos recueillis par Marie-Lou Félix
Entretien avec Amélie CHÉRUBIN – Ubiquité [Acte 5]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Pierre Audétat – L’Empire des signes [Acte 2]
Entretien signé Laure Hirsig
DIANE ALBASINI : Une Artiste aux Mille Facettes
Entretien signé Anne Thorens
Entretien avec Charlotte Chabbey, l’esprit collectif
Propos recueillis par Sami Kali
Entretien avec CAMILLE MERMET, son pluriel des familles
Propos recueillis par Delphine Horst
Entretien avec avec Déborah Helle – L’Empire des signes [Acte 1]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec avec Stéphane Rentznik- Ubiquité [Acte IV]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Anna PIERI ZUERCHER – Ubiquité [Acte III]
Entretien signé Laure Hirsig
Djemi Pittet Sané: Respirer à la Racine
Propos recueillis par Marie Lou Félix
Entretien avec Nastassja Tanner – Ubiquité [Acte II]
Entretien signé Laure Hirsig
Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.
Nicole Borgeat, serial thrilleuse
Portrait de la réalisatrice signé Laure Hirsig,
Entretien avec Marie Ripoll
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Wissam Arbache ¦ Ubiquité [Acte I]
Entretien signé Laure Hirsig
Claire Darnalet et Yvan Rihs | Le génie des ingénu.e.s [Acte IV]
Pour clore le feuilleton Le Génie des ingénu.e.s (IV), la parole passionnée de Claire Darnalet, 21 ans, élève en 1ère année à La Manufacture* […]
Valeria Bertolotto et Tobia Giorla ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte III]
Entretiens signés Laure Hirsig
Safi Martin-Yé bouillonne de cultureS
Portrait de la comédienne signé Laure Hirsig,
Lokman Debabeche et Nathalie Lannuzel ¦ Le génie des ingénu.e.s” [acte II]
Suite du feuilleton avec Lokman Debabeche. À 23 ans, il démarre sa 3ème année à l’école des Teintureries de Lausanne, enrichi par un parcours personnel qui associe turbulence et sagesse […]
Laurence Perez: Scène suisse, un pont pour danser en Avignon
L’an prochain, Laurence Perez cédera les rênes de « Sélection suisse en Avignon » à Esther Welger-Barboza. En attendant, l’actuelle directrice artistique et exécutive couve une ultime volée dont elle défend avec détermination la singularité.
Liv Van Thuyne et Serge Martin ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte I]
Pour inaugurer ce feuilleton, je m’entretiens avec Liv Van Thuyne, 22 ans, élève de 1ère année à l’école Serge Martin. Malgré son jeune âge, elle s’est déjà frottée au large spectre des arts, sensible aux subtilités qu’offre chacun d’eux. En écho, la magie de la pensée concentrée du maître Serge Martin, qui dit tant en si peu de mots.
Le théâtre-zèbre de Marielle Pinsard
Marielle Pinsard m’a offert mon premier plongeon théâtral. Alors que l’année 2001 allait s’éteindre, Marielle mettait le feu aux poudres avec Comme des couteaux, pièce dont elle était à la fois l’auteure et la metteure en scène.
Michel Vinaver, homme de l’être
Dramaturge et écrivain, mais aussi ancien chef d’entreprise, Michel Vinaver s’est éteint ce 1er mai à 95 ans. En hommage, les extraits d’un entretien accordé il y a quelques années.
Bienvenue dans la 4e dimension de Lucas Savioz! – Rétrofuturiste (VI)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce sixième volet, on traverse l’écran en compagnie de Lucas Savioz.
Faim de séries? La RTS mijote petits et grands plats…
Pandémie ou pas, la loi des séries continue de s’imposer en Suisse comme ailleurs. Entre audaces calculées et contraintes diverses, la RTS trace sa voie dans un univers qui est aussi synonyme d’emplois.
Guillaume Prin, pour un théâtre nomade fait maison – Rétrofuturiste (V)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce cinquième épisode, on embarque à bord du camion-théâtre de Guillaume Prin.
Jean-Louis Johannides, into the wild – Rétrofuturiste (IV)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce 4e volet, on part à la conquête des grands espaces aux côtés de Jean-Louis Johannides.
Alain Borek fait jeu de tout bois – Rétrofuturiste (III)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Ce troisième volet donne la parole au comédien Alain Borek.
Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.
Lucie Zelger ou l’art du contrepoint – Rétrofuturiste (I)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Un voyage des racines jusqu’à l’horizon qu’inaugure la comédienne Lucie Zelger.
Mali Van Valenberg se mêle au vent
Série “J’ai deux amours” (VI). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour cet ultime volet, Laure Hirsig parle écriture avec Mali Van Valenberg.
Alexandra Marcos, voix double
Série “J’ai deux amours” (V). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce nouveau volet, Laure Hirsig suis les “voies” d’Alexandra Marcos.
Paroles de scénaristes : où en est la Suisse?
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.
La Manufacture: la conquête de l’espace
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.
Sébastien Ribaux, l’amour de la psyché
Série “J’ai deux amours” (IV). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile le “double je” de Sébastien Ribaux.
Delphine Lanza, au Pays des merveilles
Série “J’ai deux amours” (III). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile les “multiples palettes” de Delphine Lanza.
Noémie Griess, au plateau et au micro
Série “J’ai deux amours” (II). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce deuxième volet, Laure Hirsig échange avec Noémie Griess sur ce “double jeu”.
Garance La Fata, l’esprit boomerang
Série “J’ai deux amours” (I). Parce que la vie ne s’arrête pas à la scène, certain.e.s comédien.ne.s s’emploient à jouer un rôle bien ancré dans le réel. Pour ce volet inaugural, Laure Hirsig échange avec Garance La Fata sur ce “double jeu”.
Joël Hefti, portrait extérieur
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce sixième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Joël Hefti.
Roberto Garieri, de chair et de mots
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce cinquième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Garieri.
Le parler swing de Roberto Molo
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce quatrième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Molo.
Djamel Bel Ghazi, tempête sous un crâne
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce troisième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Djamel Bel Ghazi.
Aux Teintureries, Nathalie Lannuzel fait “bouger les lignes”
Ouverte en 1997 sous l’impulsion de François Landolt, l’école supérieure de théâtre Les Teintureries à Lausanne cultive l’altérité et valorise l’audace. Rencontre avec sa directrice artistique, Nathalie Lannuzel.
Xavier Loira, dandy cash
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce deuxième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Xavier Loira.
Boubacar Samb, sentinelle sans tabou
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce premier volet d’une série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien d’origine sénégalaise, Boubacar Samp.
Carlo Brandt, l’homme renversé (II)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Second et dernier chapitre d’un entretien sans fard.
Carlo Brandt, l’homme renversé (I)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Premier chapitre.
Julia Perazzini chatouille l’invisible – Fatal(e)s VI
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce dernier volet, elle se laisse entraîner par la comédienne Julia Perazzini dans les limbes de l’enfance.
Isabelle Caillat au coeur de la crise
La comédienne genevoise s’impose en femme de tête et de coeur dans « Cellule de crise », nouvelle série signée Jacob Berger qui nous dévoile les arcanes de l’humanitaire. Entretien à la veille de la diffusion.
Prune Beuchat, comme un ouragan – Fatal(e)s V
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce 5e volet, on croque dans une Prune qui ne compte pas pour des prunes!
Olivier Lafrance, entretien avec un vampire – Fatal(e)s IV
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Le comédien Olivier Lafrance se prête à ce jeu d’ombre.
“Je suis pour les quotas d’auteur.e.s suisses”
A la suite de notre enquête sur le statut de l’auteur.e en Suisse romande, le dramaturge et metteur en scène Julien Mages défend l’idée d’une écriture typiquement “suisse”.
Pour Camille Giacobino, le ciel peut attendre – Fatal(e)s III
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Amour et mort, deux thèmes que fréquente régulièrement Camille Giacobino, comme comédienne ou comme metteuse-en-scène.
Y’a-t-il encore un.e auteur.e dans la salle?
Acteur.trice à la fois central et à part, l’auteur.e d’un spectacle ou d’un film doit composer avec des contraintes qui laissent peu de place à l’ego. Trois d’entre eux/elles nous parlent de leur pratique.
Cédric Leproust, le Garçon et la Mort – Fatal(e)s II
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Au comédien Cédric Leproust de nous entraîner dans le territoire des ombres.
Julia Batinova, l’art de la fougue – Fatal(e)s
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig inaugure une nouvelle série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Première à s’y coller, la comédienne Julia Batinova.
Alain Mudry, colosse au clair de lune
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce sixième “Traversée en solitaire”, on se met sur orbite avec Alain Mudry.
Serge Valletti brise le glas à Avignon
Acteur, auteur, scénariste aux côtés du réalisateur Robert Guédiguian, Serge Valletti a mis du baume aristophanesque sur les plaies du festival avorté. Rencontre.
Arblinda Dauti, la perle noire
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce cinquième “Traversée en solitaire”, on se fait la belle avec Arblinda Dauti.
David Valère, l’homme debout qui met le chaos K.O.
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce quatrième “Traversée en solitaire”, on fend les flots avec David Valère.
Olivia Csiky Trnka, l’extra-terrienne
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce troisième “Traversée en solitaire”, on décolle aux côtés d’Olivia Csiky Trnka.
Raphaël Vachoux, sans peur ni reproche
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce deuxième “Traversée en solitaire”, on embarque aux côtés de Raphaël Vachoux.
Jacques Michel, l’échappée belle
En six décennies de carrière, le comédien a endossé tous les costumes. Acteur dans tous les sens du terme, il a construit une histoire qui déborde la sienne, celle du théâtre romand. Portrait.
Lola Giouse, Miss en tropisme
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude, ses charmes comme sa nocivité dans leur parcours et leur pratique. Pour cette première “Traversée en solitaire”, on largue les amarres avec Lola Giouse.
Françoise Boillat La Dame du lac – Le théâtre dans la peau (VI)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Sixième acte avec la comédienne Françoise Boillat.
Un dernier café avec Michel Piccoli
L’acteur nous a quitté le 12 mai, à l’âge de 94 ans. En guise d’hommage, des extraits inédits d’un entretien accordé à Lionel Chiuch à l’occasion de la tournée de “Minetti”, de Thomas Bernhard.
Julien TSONGAS Préda(c)teur- Le théâtre dans la peau (V)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Cinquième acte avec le comédien Julien Tsongas.
Sandro De Feo Mutant mutin mutique-Le théâtre dans la peau (IV)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Quatrième acte avec le comédien Sandro De Feo.
“Il reste dans la culture une sorte de mépris de classe”
Après un septennat à la tête du GIFF, Emmanuel Cuénod s’apprête à en remettre les clés. Dans un long entretien sans langue de bois, il nous parle du festival genevois et donne quelques coups de griffe à la politique culturelle suisse.
François Revaclier Le spirituel danse l’art – Le théâtre dans la peau (III)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Troisième acte avec le comédien François Revaclier.
Valérie Liengme La créature – Le théâtre dans la peau (II)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Deuxième acte avec la comédienne Valérie Liengme.
Joëlle Fontannaz La magnétique au magnéto – Le théâtre dans la peau (I)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Premier acte avec la comédienne Joëlle Fontannaz.
Monica Budde, la voix libre
D’Andromaque de Racine au personnage de A de Sarah Kane, la comédienne Monica Budde campe des femmes qui, comme elle, ne s’en laissent pas conter. Portrait en toute liberté.
Braqueur de banques!
Alors que la saison 2 de « Quartier des banques » débarque sur les écrans, son réalisateur, Fulvio Bernasconi, nous parle de son rapport aux comédien(ne)s.
“Molière écrit pour sauver les meubles”
Aussi à l’aise chez Molière que chez Ionesco, Michel Bouquet, 94 ans, a voué sa vie aux auteurs. Il les évoque ici.
“L’avantage ici, c’est le Système D”
A la Chaux-de-Fonds, pays des merveilles mécaniques, on croise moins de lapin blanc que de drapeau noir. La comédienne Aurore Faivre brandit celui d’un théâtre qui ose et qui place l’humain au centre.
“Il faut rester punk dans l’âme” – Cherchez l’enfant avec Fréderic Polier
Acteur, metteur en scène, raconteur d’histoires et tricoteur de fictions, Frédéric Polier continue de croiser le fer pour un théâtre généreux et rebelle.
Daniel Vouillamoz: “Nous vivons l’époque du théâtre selfie”
Avec l’amour, la haine n’est jamais très loin. Acteur, auteur, metteur en scène mais aussi musicien, Daniel Vouillamoz effeuille volontiers la marguerite quand il parle de théâtre, cet « art pathétiquement inutile et pourtant essentiel ».
Gilles Tschudi: “C’est vrai, je ne connais pas de barrière”
Acteur puissant et subtil, Gilles Tschudi n’hésite pas à se mettre à nu, comme dans « Souterrainblues », mis en scène par Maya Bösch il y a près de dix ans au Grütli. Mais l’homme dévoile volontiers aussi ce qui « l’agit » et dresse ici une véritable métaphysique du jeu.
Jean-Luc Borgeat: “Le personnage, je ne sais pas ce que c’est”
Acteur, metteur en scène, écrivain, Jean-Luc Borgeat ne boude la parole que lorsqu’il se pose au bord d’un cours d’eau pour pêcher à la mouche.
Théâtre des Osses, théâtre de chair
On prend les chemins de traverse jusqu’à Givisiez pour y rencontrer Geneviève Pasquier et Nicolas Rossier. Leur nouvelle saison regarde la planète en face.
Sarah Marcuse: Tribulations avignonnaises
En 2018, la comédienne et metteure en scène genevoise Sarah Marcuse s’est frottée au Festival Off. Elle en rapporte un témoignage fort que nous reproduisons ici avec son aimable autorisation.
Carole Epiney, névrosée à temps partiel
Elle était impeccable dans « Les névroses sexuelles de nos parents ». La valaisanne Carole Epiney affronte les aléas de la vie de comédienne romande avec une belle énergie.
On ne peut pas être aimé par tout le monde
Difficile, l’exercice du casting? Pour comedien.ch, Nathalie Chéron, trente ans à chercher la perle rare, livre quelques « trucs » pour faire baisser la pression.
Il y a plus de compagnies que de films
Critique à la Tribune de Genève, Pascal Gavillet est un habitué du cinéma suisse, dont il connait bien les mécanismes. On fait le point avec lui.
Serge Martin cultive l’esprit d’équipe
Pour celui qui a créé sa propre école à Genève il y a maintenant plus de 30 ans, le théâtre reste une histoire de partage.