Samuel Perthuis – Apprendre à tout faire.
@Janine Guldener
On dit de l’acteur qu’il doit être capable de faire tout ; ce que Samuel Perthuis à peut-être un peu trop pris au pied de la lettre. En cinq ans d’activité, ce jeune trentenaire s’est démultiplié : metteur en scène, assistant, diffuseur, responsable de communication… C’est à la terrasse d’un café des Eaux-Vives, quartier genevois qu’il habite, que nous rencontrons cet artiste aux multiples casquettes, mais au discours entier et à l’humeur joviale. Il vient de finir sa journée, s’excuse d’un retard très léger. « J’ai croisé un collègue en sortant alors j’ai papoté », nous explique-t-il avec un sourire franc qui donne déjà envie de tout lui pardonner. À peine le temps d’enlever son manteau et de commander un verre qu’il se prête à l’exercice : « Ça a commencé ? ».
Entretien signé Zacharie Jourdain
@Janine Guldener
Commençons par ce que tu fais actuellement et remontons de manière antéchronologique. Comment es-tu devenu en six mois responsable de la communication de deux théâtres genevois ?
J’avais envie de travailler de façon fixe pour un lieu. D’avoir la possibilité d’occuper mon esprit. Pouvoir tout le temps me projeter dans la saison d’après. J’étais ennuyé quand je n’étais que du côté artistique. Tu t’engages à fond pendant deux mois, puis tu n’as rien pendant six mois, puis tu reprends pendant deux mois. C’est quelque chose de très éphémère, qui te stimule beaucoup sur le moment, mais après plus du tout. Je voulais avoir toujours quelque chose qui trotte dans le fond de ma tête. Je crois que c’est important. J’ai l’impression d’avoir plus d’influence à ce poste, je me sens moins à la merci des décisions des directions. Et puis j’ai toujours été intéressé par la communication. J’ai souvent été en colère quant à la manière dont certains lieux organisaient leurs communications, enfin, « en colère » c’est un bien grand mot… Mais j’étais parfois embêté, je me disais : « pourquoi ils font comme ça ? ». Au moins maintenant, si je trouve que ce n’est pas bien, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même. Et puis il y a quelque chose d’assez populaire dans la communication, d’essayer de toucher le plus grand nombre, plutôt que penser uniquement au milieu. Et puis pourquoi deux théâtres? les rencontres de la vie…
Tu marches beaucoup par rencontre ?
Oui ! Ça n’est que ça. Si ça a marché au Théâtre de Loup, c’est parce que Julie Gilbert [codirectrice du théâtre : ndlr] me croisait beaucoup. Pareil pour Céline et Bastien [codirecteur·rice du Théâtre de l’Orangerie ; ndlr], qui me croisaient trois fois par semaine au théâtre. Ils ont dû se dire : « au moins il touche un peu, il va savoir de quoi il parle. ». Pour l’Orangerie, ce qui leur manquait, c’était quelqu’un qui connait les artistes et le milieu. Si tu as quelqu’un qui ne s’intéresse pas au plateau, c’est un peu problématique. Tu peux avoir un super communicant, mais s’il ne sait pas parler de théâtre, ça ne sert à rien d’avoir la communication de Burger King. Natacha Koutchoumov disait : « pourquoi on bosse tous dans cette grande tour de verre ? Il ne faut jamais oublier que c’est pour ce qui se passe en dessous, sur le plateau. »
Tu parles de Natacha Koutchomov, tu l’as assisté à la Comédie de Genève en 2021 ?
C’était mon premier contrat, le lendemain du diplôme. C’était révélateur. Ils m’ont confié la coordination de trois créations collectives, dans l’ancienne Comédie, rue des Philosophes. Je devais gérer huit artistes sur le plateau, sans les mettre en scène ; en les coordonnant avec toutes les équipes de la technique, de la communication, pendant le covid. C’était déjà un premier poste multicasquette. Après ça a été plus dur, quand on est arrivé à la nouvelle Comédie de Genève. C’est un immense paquebot. J’assistais Natacha sur deux projets. J’ai aimé mon rôle, mais le bateau était trop gros. Il y avait tellement de choses à gérer, tellement de personnes qui te sollicitent pour des choses différentes. Tu ne peux pas être partout, tu n’es pas celui qui est le plus payé et il n’y a pas vraiment de raisons que tu fasses trois heures de plus que les autres tous les soirs. Il fallait avoir les reins solides.
J’assume totalement mon passé d’usurpateur, et je me revendique tout à fait filou sur les bords.
Pourtant, tu as continué l’assistanat, notamment pour Philippe Saire à Lausanne, sur trois spectacles ?
C’est différent ! L’équipe est plus petite, Philippe peut se reposer sur moi. Dans sa compagnie tout est direct, si j’ai une question je peux aller voir l’administrateur à côté. Sur le dernier spectacle, je comptais les jours parce que je ne voulais pas que ça s’arrête. Il y a quelque chose de simple… C’est comme à la maison.
Avant d’être responsable de la communication, tu faisais déjà de la communication digitale, pour la Fête du Théâtre, le festival Genève Genève et la Sélection Suisse en Avignon, comment es-tu arrivé à ce poste ?
Je crois que les gens aiment bien les gens qui se démerdent, les gens qui osent. Par exemple, Laurence Pérez [ancienne directrice de la Sélection Suisse en Avignon ; ndlr] m’a apprécié parce que je rentrais de façon frauduleuse dans des soirées de festivals, en me faisant passer pour un journaliste.
Tu accepterais de nous parler de cette histoire de journaliste ?
Oui, sans rentrer dans les détails bien sûr. Mais j’assume totalement mon passé d’usurpateur, et je me revendique tout à fait filou sur les bords. Avec une amie, on cherchait un moyen de rentrer dans les soirées de certains festivals de théâtre. Au début, on voulait faire un faux site, mais on s’est pris au jeu. On s’est retrouvé à écrire plein d’articles. C’est allé assez loin, on a été affiché au théâtre de Marseille, dans les pages presse de plusieurs compagnies et dans les revues de presse des festivals. À la fin ça n’était plus du tout un faux site, il était référencé sur Google. Ça a fini par devenir un vrai travail, ce qui n’était pas l’idée à la base !
Tu disais aller trois fois par semaines au théâtre, tu y as toujours passé autant de temps ?
Oui ! J’allais beaucoup au théâtre à Orléans, dont je suis originaire. Je suis devenu ouvreur dès que j’ai pu, à dix-huit ans, pour les trois scènes de la ville. Mes parents m’emmenaient aussi voir Philippe Gentil, Ariane Mnouchkine… Je n’ai qu’une passion dans la vie, c’est parler théâtre. Je pourrais passer ma vie à ne parler que de ça, je serais le plus heureux des hommes !
Il y a plein de gens gentil dans notre milieu, prêts à aider.
Est-ce que tu pourrais nous parler ton projet « Ainsi va la vie » ?
À la base, c’était mon projet de master, à la HKB[Haute école des arts de Berne ; ndlr]. Je voulais faire un projet qui sorte de la boite noire et je voulais raconter quelque chose de très personnel, donc je me suis orienté vers une forme en appartement. Je voulais faire un spectacle touchant. J’ai donc raconté l’histoire d’une dame âgée, atteinte d’Alzheimer, qui décide de recourir à l’aide d’Exit. Julien Jacquerioz [directeur des Halles de Sierre ; ndlr] est venu, a aimé, et m’a demandé d’en faire un spectacle d’une heure. Véronique Mermoud a prêté sa voix au projet. Comme on jouait dans un appartement du théâtre de Sierre, on aurait pu croire à un spectacle in situ, mais le sujet est universel. Je pense que ça pourrait tourner partout en Suisse Romande.
Tu as étudié longtemps, comment tu expliques la longueur de ce parcours ?
C’est comme ça pour tout le monde… Il n’y a pas besoin de faire huit ans d’études pour être comédien. Mais je suis quand même content de ne pas être entré à la Manufacture à dix-huit ans. D’avoir une certaine maturité pour pouvoir emmagasiner ces trois ans d’études, qui doivent représenter six ans d’expériences professionnelles. J’avais déjà fait mon droit. Mais ça n’enlève en rien qu’il a fallu faire quatre ans dans des conservatoires avant ça.
Très vite pourtant, tu t’es retrouvé à d’autres postes que celui de comédien, ce qui n’avait rien à voir avec ta formation initiale ?
Rien ! En même temps, dès l’obtention du Bachelor, je savais que je ne voulais pas être que comédien. J’ai fait le master de HKB. Après je me suis dit : « Non, mais je ne veux pas juste faire de la mise en scène, je veux aussi faire de la communication. ». Après la communication, je voulais aussi faire de la diffusion. À chaque fois que j’arrive sur un nouveau poste, j’ai quelques sueurs froides, on ne va pas se mentir. Mais pour la communication, la diffusion, il n’y a pas besoin de beaucoup de connaissances techniques. Modifier un site internet, tu le fais une fois, tu as compris. Tu essayes chez toi, dans ton coin, tu cliques partout… Et puis on n’est jamais seul. Si j’ai des questions pointues de stratégie, je peux appeler les collègues d’autres théâtres. Il y a plein de gens gentil dans notre milieu, prêts à aider. C’est ce que j’avais dit dans mon dernier entretien d’embauche. On peut toujours appeler une telle ou untel. Le régisseur, quand il arrive face à une nouvelle console qu’il ne connait pas, c’est ce qu’il fait. Il appelle un collègue d’un autre théâtre.
Tu fais partie de ces artistes qui s’intéressent beaucoup aux documents techniques, tu lis les rapports, les conventions de subventionnements, les bilans, en quoi est-ce important pour toi ?
Tout le monde devrait le faire. C’est très intéressant. J’ai toujours eu envie de comprendre le monde dans lequel j’évolue, et force est de constater que l’économie tient une place importante. C’est bien beau d’avoir de super idées artistiques, mais si tu as des équipes à gérer, un budget à respecter, et que tu ne sais pas faire… Surtout qu’on connait les conditions actuelles… C’est un problème. Où alors tu t’entoures de personnes qui savent faire, mais il faut avoir les moyens. Si tu veux améliorer le système, à notre niveau, au niveau théâtral, tu dois chercher à le comprendre.
C’est une question de morale pour toi, de comprendre l’économie dans laquelle tu évolues ?
Morale… Je ne sais pas. Si on cherche des réponses économiques aux problèmes, souvent les réponses ne sont pas très morales. Je suis plus intéressé par l’aspect politique qu’économique. Après, c’est une question d’échelle. Il faut prendre le théâtre pour ce qu’il est, pour son rôle. Le propre du théâtre, c’est de remettre en circulation des pensées. Si tu veux vraiment changer le monde, ce n’est pas très efficace de faire du théâtre.
Tu pourrais tout faire sur un projet ?
Non ! Je me méfis des gens qui font tout, tout seul, sur un projet ! Sur un projet je me divise, une fois je fais de la communication, une fois de la diffusion, une fois de la mise en scène…
@Janine Guldener
Cela fait longtemps que tu n’es pas allé au plateau en tant que comédien, ça t’effrayerait d’y retourner ?
Comme tout le monde, je crois. Je serais stressé, mais pas plus que n’importe qui d’autre. Je connais des actrices de 25 ans de carrière ; elles ont toujours peur. Je me dis que si on vient me chercher, j’aurais une légitimité et j’irais avec le sourire. Mais je ne serais pas malheureux si je n’y retournais pas. Aujourd’hui je travaille dans le milieu, si ça ne marche pas au plateau, ça marchera ailleurs. Je ne mise plus tout là-dessus… Si tu es juste comédien, tu dépends d’une seule chose, et tu dois toujours tout prouver le jour J, donc forcément tu finis par te planter.
Quel est ton rapport aux applaudissements ?
Je crois que ça me met assez mal à l’aise. Sur la photo de classe, j’étais celui qui se cachait derrière la maitresse. Bien sûr, si j’avais une salle de deux mille personnes qui m’applaudissait, ça me ferait plaisir. Mais je ne vis pas pour les applaudissements. Recevoir huit remerciements de personnes à qui tu as rendu service, ça me comble plus qu’une centaine de personnes qui m’applaudissent. J’aime bien être celui qui est caché, mais à qui on demande son avis. Quand un autre artiste m’appelle pour l’aider sur un projet, ça vaut, pour moi, tous les applaudissements du monde.
Multiplier les casquettes, ça a l’air de te combler ?
J’aime cet aspect du théâtre où tu dois faire un peu tout, si tu fais un peu de communication, tu vends mieux ton projet et tu fais de meilleurs dossiers, si tu fais de meilleurs dossiers, les gens s’intéressent plus et donc tu fais quelque chose de plus intéressant artistiquement. La dernière fois après un spectacle, il y avait des collègues qui parlaient d’une danseuse qui tenait beaucoup de postes administratifs en ce moment. L’un d’entre eux s’est voulu rassurant en disant « elle reviendra à la danse à un moment. », ce à quoi mon directeur a répondu : « Ou pas. Et c’est pas grave. ». Et c’est vrai. Ça m’a touché. On peut être utile partout. Ce n’est pas parce qu’on travaille tous pour le plateau qu’on est plus utile dessus qu’en dehors. Tant que je travaille avec des gens qui me plaisent, pour des projets qui me plaisent, je suis heureux.
Ton profil comédien.ch interpelle beaucoup. Il est très atypique. Tu y mets toutes tes expériences à des postes administratifs, mais aussi des expériences fictives et humoristiques, pourquoi ?
Ça devrait s’appeler artiste.ch ! D’abord, ce n’est pas parce qu’être acteur n’est pas une finalité pour moi, qu’aujourd’hui je m’intéresse à autre chose, que demain je ne voudrais pas revenir au jeu. C’est important pour moi de le garder, d’y mettre tout ce que je fais encore aujourd’hui. Parce que si je ne mets que quand je joue, les gens pensent que je ne fais rien, et on ne m’appelle jamais. Alors je bidouille sur le site pour mettre tout ce que je fais. Pour autant, on n’est pas à l’abri de rire, donc je glisse des filouteries çà et là. Tout est vrai ! En tout cas, selon moi [dit-il en riant] ! Si on ne me connait vraiment pas, on peut se dire que je suis un petit rigolo, mais si on me connait un peu, on me reconnait bien. On a tous envie de travailler avec des gens gentils et drôles. En tout cas j’en ai envie, donc j’essaie de me distinguer comme ça.
Qu’envisages-tu pour la suite ?
Continuer mes mandats, déjà ! Maintenant je m’intéresse à la question de la programmation. J’aimerais beaucoup mettre mon énergie au profit d’autres projets pour qu’ils existent, ou au profit de lieux, de structures, pour qu’elles existent. Comme je sors beaucoup au théâtre, je me dis que je ne dois pas être pire qu’un autre… C’est assez jouissif de sentir qu’on peut générer des rencontres entres ses pairs. Quand tu parles de quelqu’un à quelqu’un d’autre, que tu conseilles une telle d’aller voir tel spectacle, et que ça génère des collaborations, ça fait plaisir. C’est une belle reconnaissance quand on me demande mon avis. J’aime être franc. Pour animer le débat, et puis aussi parce que sinon ça n’avance en rien. Ce n’est pas méchant, c’est juste mon avis, et après on peut analyser. S’il y a une critique, c’est pour que ça bouge. J’insiste : le théâtre doit remettre en circulation les problématiques. L’intérêt quand tu sors d’une pièce, c’est que le lendemain midi, au repas de famille, tu lances le débat de ce qui t’a parlé dans la pièce. Si ça arrive, je me dis que c’est réussi.
Un prochain projet artistique ?
J’aimerais bien faire tourner « Ainsi va la vie ». Je n’avais pas eu beaucoup de professionnels mais ça avait beaucoup touché les gens à Sierre, le bouche à oreilles avait vraiment pris, on avait dû programmer des supplémentaires. Je pense que c’est un spectacle qui marche pour un public qui ne va pas souvent au théâtre, alors j’ai envie de continuer à le partager. Mais pour une autre mise en scène… Oui, mais j’aimerais bien qu’on soit deux pour porter le prochain projet. Quand je vois une comédienne et une metteuse en scène qui s’associent, comme Rébecca Balestra et Manon Krüttli, ça donne envie.
Zacharie Jourdain est artiste dramatique depuis dix ans. Diplômé de la Manufacture Hes-so et de l’Université de Lille, il porte un intérêt tout particulier à l’aspect technique de la pratique actorale, aux écritures contemporaines ainsi qu’aux œuvres graphiques atypiques ou déroutantes.
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Prune Beuchat, comme un ouragan – Fatal(e)s V
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce 5e volet, on croque dans une Prune qui ne compte pas pour des prunes!
Olivier Lafrance, entretien avec un vampire – Fatal(e)s IV
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Le comédien Olivier Lafrance se prête à ce jeu d’ombre.
“Je suis pour les quotas d’auteur.e.s suisses”
A la suite de notre enquête sur le statut de l’auteur.e en Suisse romande, le dramaturge et metteur en scène Julien Mages défend l’idée d’une écriture typiquement “suisse”.
Pour Camille Giacobino, le ciel peut attendre – Fatal(e)s III
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Amour et mort, deux thèmes que fréquente régulièrement Camille Giacobino, comme comédienne ou comme metteuse-en-scène.
Y’a-t-il encore un.e auteur.e dans la salle?
Acteur.trice à la fois central et à part, l’auteur.e d’un spectacle ou d’un film doit composer avec des contraintes qui laissent peu de place à l’ego. Trois d’entre eux/elles nous parlent de leur pratique.
Cédric Leproust, le Garçon et la Mort – Fatal(e)s II
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Au comédien Cédric Leproust de nous entraîner dans le territoire des ombres.
Julia Batinova, l’art de la fougue – Fatal(e)s
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig inaugure une nouvelle série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Première à s’y coller, la comédienne Julia Batinova.
Alain Mudry, colosse au clair de lune
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce sixième “Traversée en solitaire”, on se met sur orbite avec Alain Mudry.
Serge Valletti brise le glas à Avignon
Acteur, auteur, scénariste aux côtés du réalisateur Robert Guédiguian, Serge Valletti a mis du baume aristophanesque sur les plaies du festival avorté. Rencontre.
Arblinda Dauti, la perle noire
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce cinquième “Traversée en solitaire”, on se fait la belle avec Arblinda Dauti.
David Valère, l’homme debout qui met le chaos K.O.
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce quatrième “Traversée en solitaire”, on fend les flots avec David Valère.
Olivia Csiky Trnka, l’extra-terrienne
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce troisième “Traversée en solitaire”, on décolle aux côtés d’Olivia Csiky Trnka.
Raphaël Vachoux, sans peur ni reproche
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce deuxième “Traversée en solitaire”, on embarque aux côtés de Raphaël Vachoux.
Jacques Michel, l’échappée belle
En six décennies de carrière, le comédien a endossé tous les costumes. Acteur dans tous les sens du terme, il a construit une histoire qui déborde la sienne, celle du théâtre romand. Portrait.
Lola Giouse, Miss en tropisme
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude, ses charmes comme sa nocivité dans leur parcours et leur pratique. Pour cette première “Traversée en solitaire”, on largue les amarres avec Lola Giouse.
Françoise Boillat La Dame du lac – Le théâtre dans la peau (VI)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Sixième acte avec la comédienne Françoise Boillat.
Un dernier café avec Michel Piccoli
L’acteur nous a quitté le 12 mai, à l’âge de 94 ans. En guise d’hommage, des extraits inédits d’un entretien accordé à Lionel Chiuch à l’occasion de la tournée de “Minetti”, de Thomas Bernhard.
Julien TSONGAS Préda(c)teur- Le théâtre dans la peau (V)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Cinquième acte avec le comédien Julien Tsongas.
Sandro De Feo Mutant mutin mutique-Le théâtre dans la peau (IV)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Quatrième acte avec le comédien Sandro De Feo.
“Il reste dans la culture une sorte de mépris de classe”
Après un septennat à la tête du GIFF, Emmanuel Cuénod s’apprête à en remettre les clés. Dans un long entretien sans langue de bois, il nous parle du festival genevois et donne quelques coups de griffe à la politique culturelle suisse.
François Revaclier Le spirituel danse l’art – Le théâtre dans la peau (III)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Troisième acte avec le comédien François Revaclier.
Valérie Liengme La créature – Le théâtre dans la peau (II)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Deuxième acte avec la comédienne Valérie Liengme.
Joëlle Fontannaz La magnétique au magnéto – Le théâtre dans la peau (I)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Premier acte avec la comédienne Joëlle Fontannaz.
Monica Budde, la voix libre
D’Andromaque de Racine au personnage de A de Sarah Kane, la comédienne Monica Budde campe des femmes qui, comme elle, ne s’en laissent pas conter. Portrait en toute liberté.
Braqueur de banques!
Alors que la saison 2 de « Quartier des banques » débarque sur les écrans, son réalisateur, Fulvio Bernasconi, nous parle de son rapport aux comédien(ne)s.
“Molière écrit pour sauver les meubles”
Aussi à l’aise chez Molière que chez Ionesco, Michel Bouquet, 94 ans, a voué sa vie aux auteurs. Il les évoque ici.
Toutes les rencontres
La jungle du mythique Festival d’Avignon : Esther Welger-Barboza: tisser la présence suisse à Avignon
“L’esprit de la Sélection Suisse en Avignon est généreux. Tu es embarqué·es dans une aventure. ”
Entretien signé Solange Schifferdecker
La jungle du mythique Festival d’Avignon : Joëlle Fontannaz, le sésame de la Sélection Suisse
« Avec la Sélection Suisse qui existe depuis neuf ans, avec la force de frappe de Vidy, de La Comédie et d’autres théâtres encore, les regards, de plus en plus, se tournent vers la Suisse. »
Entretien signé Solange Schifferdecker
La jungle du mythique Festival d’Avignon : Marjolaine Minot, l’art en autoproduction.
“J’aime cette cohabitation effervescente de culture, de spectacles, de personnes avec, pour passion commune, le théâtre. Tellement de compagnies enthousiastes ! De plus, en Provence, sous le soleil de l’été, avec cette énergie… quelle beauté à voir et à sentir!”
Entretien signé Solange Schifferdecker
Entretien avec Thomas Hempler, Directeur technique, régisseur général et créateur lumière- L’Empire des signes [Acte 5]
“Ma nature tiraillée entre l’intellectuel, l’artistique et le manuel, a trouvé au théâtre une sorte de fusion magique de ces trois domaines.”
Entretien signé Laure Hirsig
Chloë Lombard : le collectif dans le ventre
” Je crois que je suis très forte pour rebondir sur les idées. Toute seule dans ma cuisine, j’ai du plaisir à travailler mais ça a ses limites. Je pense que personne n’a jamais l’idée du siècle. On ne fait que se piquer des idées et je trouve ça plutôt génial. ”
Entretien signé Marie Lou Félix
Nicolas Rossier – Le plaisir de la curiosité
“Plutôt qu’un rôle, c’est un cheminement. Ce qui m’importe, c’est le parcours que le personnage propose, la façon dont le jeu peut évoluer, ce qu’il provoque. ”
Entretien signé Christine Laville
Alexandra Gentile – Quand l’art du clown se mêle au théâtre
“Avec le clown, il est obligatoire de jouer. Et de traverser ce qu’il y a à traverser. Sillonner les paysages émotionnels, du néant à l’intensité.”
Entretien signé Solange Schifferdecker
Charlotte Filou : Une valse à mille temps
“J’ai l’impression que je peux toucher les gens aussi bien en chantant qu’en parlant, mais que le chemin est moins direct avec un texte parlé. Ça me demande plus de travail et d’introspection. ”
Entretien signé Marie Lou Félix
Adrien Barazzone, les frissons d’un Premier de cordée
« Selon moi, jouer c’est trouver la bonne distance, avec son propos, son personnage et le public. »
Entretien signé Laure Hirsig
Sabine Timoteo, danser vers le dedans
“A l’origine, danser, c’était la joie de me sentir vivante.”
Entretien signé Delphine Horst
Valerio Scamuffa : une poétique de l’échappée
“S’il y a un art fantomatique, c’est peut-être bien le théâtre.”
Entretien signé Marie Lou Félix
Nicolas Müller – L’Art du décalage
« Je me rappelle de ces sensations de liberté et de soulagement durant les premiers spectacles. Cet espace qui s’ouvrait, s’éveillait, demeure la raison pour laquelle je pratique le théâtre aujourd’hui. »
Entretien signé Solange Schifferdecker
Igaëlle Venegas, auto-métamorphoses…
“J’aime l’idée de découvrir quelque chose qui est déjà là, en moi, et de lui permettre de se manifester librement en jouant.”
Entretien signé Stella LO PINTO
Jean Liermier, rencontre entre quatre yeux et deux casquettes
« Si je pars maintenant, ce n’est pas par gaité de cœur ni parce que je suis lassé. Je ne sais même pas ce que je vais faire après. Mon intérêt personnel n’a rien à voir avec cette décision. Je pars parce que je pense que c’est le moment. »
Entretien signé Laure Hirsig
Tatiana Baumgartner à vif et sans fard
“J’ai découvert que j’aimais écrire du théâtre. Les dialogues, les interactions, double sens et sens cachés dans ce que les gens disent. La manipulation derrière le langage.”
Entretien signé Delphine Horst
Entretien avec Toni Teixeira, créateur costumes – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig
Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (II)
Entretien signé Laure Hirsig
Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (I)
Entretien signé Laure Hirsig
Pierre Monnard, le cinéma et ses multiples ingrédients
Propos recueillis par Sami Kali
Dorothée Thébert, photographe de plateau – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig
« 200 francs, ça suffit ! » : Danger pour la RTS, la culture et la fiction
Propos recueillis par François Marin
Cyprien Colombo La vie n’est pas un long flow* tranquille
Article signé Laure Hirsig
Wave Bonardi et Julia Portier : Vertige de l’humour
Entretien signé Marie Lou Félix
Davide Brancato, king of the glam – Ubiquité (acte VII)
Entretien signé Laure Hirsig
Dominique Bourquin, les angles pas droits
Propos recueillis par Delphine Horst
Leon Salazar, le charme de l’ambivalence – Ubiquité (acte VI)
Entretien signé Laure Hirsig
Yvette Théraulaz : un peu, beaucoup ; à l’infini
Propos recueillis par Marie Lou Félix
Entretien avec Danielle Milovic – L’Empire des signes [Acte 3]
Entretien signé Laure Hirsig
Arcadi Radeff, la quête instinctive
Propos recueillis par Sami Kali
Maurice Aufair, acteur découvreur
Propos recueillis par Marie-Lou Félix
Entretien avec Amélie CHÉRUBIN – Ubiquité [Acte 5]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Pierre Audétat – L’Empire des signes [Acte 2]
Entretien signé Laure Hirsig
DIANE ALBASINI : Une Artiste aux Mille Facettes
Entretien signé Anne Thorens
Entretien avec Charlotte Chabbey, l’esprit collectif
Propos recueillis par Sami Kali
Entretien avec CAMILLE MERMET, son pluriel des familles
Propos recueillis par Delphine Horst
Entretien avec avec Déborah Helle – L’Empire des signes [Acte 1]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec avec Stéphane Rentznik- Ubiquité [Acte IV]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Anna PIERI ZUERCHER – Ubiquité [Acte III]
Entretien signé Laure Hirsig
Djemi Pittet Sané: Respirer à la Racine
Propos recueillis par Marie Lou Félix
Entretien avec Nastassja Tanner – Ubiquité [Acte II]
Entretien signé Laure Hirsig
Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.
Nicole Borgeat, serial thrilleuse
Portrait de la réalisatrice signé Laure Hirsig,
Entretien avec Marie Ripoll
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Wissam Arbache ¦ Ubiquité [Acte I]
Entretien signé Laure Hirsig
Claire Darnalet et Yvan Rihs | Le génie des ingénu.e.s [Acte IV]
Pour clore le feuilleton Le Génie des ingénu.e.s (IV), la parole passionnée de Claire Darnalet, 21 ans, élève en 1ère année à La Manufacture* […]
Valeria Bertolotto et Tobia Giorla ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte III]
Entretiens signés Laure Hirsig
Safi Martin-Yé bouillonne de cultureS
Portrait de la comédienne signé Laure Hirsig,
Lokman Debabeche et Nathalie Lannuzel ¦ Le génie des ingénu.e.s” [acte II]
Suite du feuilleton avec Lokman Debabeche. À 23 ans, il démarre sa 3ème année à l’école des Teintureries de Lausanne, enrichi par un parcours personnel qui associe turbulence et sagesse […]
Laurence Perez: Scène suisse, un pont pour danser en Avignon
L’an prochain, Laurence Perez cédera les rênes de « Sélection suisse en Avignon » à Esther Welger-Barboza. En attendant, l’actuelle directrice artistique et exécutive couve une ultime volée dont elle défend avec détermination la singularité.
Liv Van Thuyne et Serge Martin ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte I]
Pour inaugurer ce feuilleton, je m’entretiens avec Liv Van Thuyne, 22 ans, élève de 1ère année à l’école Serge Martin. Malgré son jeune âge, elle s’est déjà frottée au large spectre des arts, sensible aux subtilités qu’offre chacun d’eux. En écho, la magie de la pensée concentrée du maître Serge Martin, qui dit tant en si peu de mots.
Le théâtre-zèbre de Marielle Pinsard
Marielle Pinsard m’a offert mon premier plongeon théâtral. Alors que l’année 2001 allait s’éteindre, Marielle mettait le feu aux poudres avec Comme des couteaux, pièce dont elle était à la fois l’auteure et la metteure en scène.
Michel Vinaver, homme de l’être
Dramaturge et écrivain, mais aussi ancien chef d’entreprise, Michel Vinaver s’est éteint ce 1er mai à 95 ans. En hommage, les extraits d’un entretien accordé il y a quelques années.
Bienvenue dans la 4e dimension de Lucas Savioz! – Rétrofuturiste (VI)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce sixième volet, on traverse l’écran en compagnie de Lucas Savioz.
Faim de séries? La RTS mijote petits et grands plats…
Pandémie ou pas, la loi des séries continue de s’imposer en Suisse comme ailleurs. Entre audaces calculées et contraintes diverses, la RTS trace sa voie dans un univers qui est aussi synonyme d’emplois.
Guillaume Prin, pour un théâtre nomade fait maison – Rétrofuturiste (V)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce cinquième épisode, on embarque à bord du camion-théâtre de Guillaume Prin.
Jean-Louis Johannides, into the wild – Rétrofuturiste (IV)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce 4e volet, on part à la conquête des grands espaces aux côtés de Jean-Louis Johannides.
Alain Borek fait jeu de tout bois – Rétrofuturiste (III)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Ce troisième volet donne la parole au comédien Alain Borek.
Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.
Lucie Zelger ou l’art du contrepoint – Rétrofuturiste (I)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Un voyage des racines jusqu’à l’horizon qu’inaugure la comédienne Lucie Zelger.
Mali Van Valenberg se mêle au vent
Série “J’ai deux amours” (VI). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour cet ultime volet, Laure Hirsig parle écriture avec Mali Van Valenberg.
Alexandra Marcos, voix double
Série “J’ai deux amours” (V). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce nouveau volet, Laure Hirsig suis les “voies” d’Alexandra Marcos.
Paroles de scénaristes : où en est la Suisse?
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.
La Manufacture: la conquête de l’espace
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.
Sébastien Ribaux, l’amour de la psyché
Série “J’ai deux amours” (IV). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile le “double je” de Sébastien Ribaux.
Delphine Lanza, au Pays des merveilles
Série “J’ai deux amours” (III). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile les “multiples palettes” de Delphine Lanza.
Noémie Griess, au plateau et au micro
Série “J’ai deux amours” (II). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce deuxième volet, Laure Hirsig échange avec Noémie Griess sur ce “double jeu”.
Garance La Fata, l’esprit boomerang
Série “J’ai deux amours” (I). Parce que la vie ne s’arrête pas à la scène, certain.e.s comédien.ne.s s’emploient à jouer un rôle bien ancré dans le réel. Pour ce volet inaugural, Laure Hirsig échange avec Garance La Fata sur ce “double jeu”.
Joël Hefti, portrait extérieur
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce sixième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Joël Hefti.
Roberto Garieri, de chair et de mots
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce cinquième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Garieri.
Le parler swing de Roberto Molo
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce quatrième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Molo.
Djamel Bel Ghazi, tempête sous un crâne
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce troisième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Djamel Bel Ghazi.
Aux Teintureries, Nathalie Lannuzel fait “bouger les lignes”
Ouverte en 1997 sous l’impulsion de François Landolt, l’école supérieure de théâtre Les Teintureries à Lausanne cultive l’altérité et valorise l’audace. Rencontre avec sa directrice artistique, Nathalie Lannuzel.
Xavier Loira, dandy cash
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce deuxième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Xavier Loira.
Boubacar Samb, sentinelle sans tabou
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce premier volet d’une série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien d’origine sénégalaise, Boubacar Samp.
Carlo Brandt, l’homme renversé (II)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Second et dernier chapitre d’un entretien sans fard.
Carlo Brandt, l’homme renversé (I)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Premier chapitre.
Julia Perazzini chatouille l’invisible – Fatal(e)s VI
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce dernier volet, elle se laisse entraîner par la comédienne Julia Perazzini dans les limbes de l’enfance.
Isabelle Caillat au coeur de la crise
La comédienne genevoise s’impose en femme de tête et de coeur dans « Cellule de crise », nouvelle série signée Jacob Berger qui nous dévoile les arcanes de l’humanitaire. Entretien à la veille de la diffusion.
Prune Beuchat, comme un ouragan – Fatal(e)s V
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce 5e volet, on croque dans une Prune qui ne compte pas pour des prunes!
Olivier Lafrance, entretien avec un vampire – Fatal(e)s IV
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Le comédien Olivier Lafrance se prête à ce jeu d’ombre.
“Je suis pour les quotas d’auteur.e.s suisses”
A la suite de notre enquête sur le statut de l’auteur.e en Suisse romande, le dramaturge et metteur en scène Julien Mages défend l’idée d’une écriture typiquement “suisse”.
Pour Camille Giacobino, le ciel peut attendre – Fatal(e)s III
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Amour et mort, deux thèmes que fréquente régulièrement Camille Giacobino, comme comédienne ou comme metteuse-en-scène.
Y’a-t-il encore un.e auteur.e dans la salle?
Acteur.trice à la fois central et à part, l’auteur.e d’un spectacle ou d’un film doit composer avec des contraintes qui laissent peu de place à l’ego. Trois d’entre eux/elles nous parlent de leur pratique.
Cédric Leproust, le Garçon et la Mort – Fatal(e)s II
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Au comédien Cédric Leproust de nous entraîner dans le territoire des ombres.
Julia Batinova, l’art de la fougue – Fatal(e)s
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig inaugure une nouvelle série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Première à s’y coller, la comédienne Julia Batinova.
Alain Mudry, colosse au clair de lune
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce sixième “Traversée en solitaire”, on se met sur orbite avec Alain Mudry.
Serge Valletti brise le glas à Avignon
Acteur, auteur, scénariste aux côtés du réalisateur Robert Guédiguian, Serge Valletti a mis du baume aristophanesque sur les plaies du festival avorté. Rencontre.
Arblinda Dauti, la perle noire
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce cinquième “Traversée en solitaire”, on se fait la belle avec Arblinda Dauti.
David Valère, l’homme debout qui met le chaos K.O.
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce quatrième “Traversée en solitaire”, on fend les flots avec David Valère.
Olivia Csiky Trnka, l’extra-terrienne
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce troisième “Traversée en solitaire”, on décolle aux côtés d’Olivia Csiky Trnka.
Raphaël Vachoux, sans peur ni reproche
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce deuxième “Traversée en solitaire”, on embarque aux côtés de Raphaël Vachoux.
Jacques Michel, l’échappée belle
En six décennies de carrière, le comédien a endossé tous les costumes. Acteur dans tous les sens du terme, il a construit une histoire qui déborde la sienne, celle du théâtre romand. Portrait.
Lola Giouse, Miss en tropisme
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude, ses charmes comme sa nocivité dans leur parcours et leur pratique. Pour cette première “Traversée en solitaire”, on largue les amarres avec Lola Giouse.
Françoise Boillat La Dame du lac – Le théâtre dans la peau (VI)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Sixième acte avec la comédienne Françoise Boillat.
Un dernier café avec Michel Piccoli
L’acteur nous a quitté le 12 mai, à l’âge de 94 ans. En guise d’hommage, des extraits inédits d’un entretien accordé à Lionel Chiuch à l’occasion de la tournée de “Minetti”, de Thomas Bernhard.
Julien TSONGAS Préda(c)teur- Le théâtre dans la peau (V)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Cinquième acte avec le comédien Julien Tsongas.
Sandro De Feo Mutant mutin mutique-Le théâtre dans la peau (IV)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Quatrième acte avec le comédien Sandro De Feo.
“Il reste dans la culture une sorte de mépris de classe”
Après un septennat à la tête du GIFF, Emmanuel Cuénod s’apprête à en remettre les clés. Dans un long entretien sans langue de bois, il nous parle du festival genevois et donne quelques coups de griffe à la politique culturelle suisse.
François Revaclier Le spirituel danse l’art – Le théâtre dans la peau (III)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Troisième acte avec le comédien François Revaclier.
Valérie Liengme La créature – Le théâtre dans la peau (II)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Deuxième acte avec la comédienne Valérie Liengme.
Joëlle Fontannaz La magnétique au magnéto – Le théâtre dans la peau (I)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Premier acte avec la comédienne Joëlle Fontannaz.
Monica Budde, la voix libre
D’Andromaque de Racine au personnage de A de Sarah Kane, la comédienne Monica Budde campe des femmes qui, comme elle, ne s’en laissent pas conter. Portrait en toute liberté.
Braqueur de banques!
Alors que la saison 2 de « Quartier des banques » débarque sur les écrans, son réalisateur, Fulvio Bernasconi, nous parle de son rapport aux comédien(ne)s.
“Molière écrit pour sauver les meubles”
Aussi à l’aise chez Molière que chez Ionesco, Michel Bouquet, 94 ans, a voué sa vie aux auteurs. Il les évoque ici.
“L’avantage ici, c’est le Système D”
A la Chaux-de-Fonds, pays des merveilles mécaniques, on croise moins de lapin blanc que de drapeau noir. La comédienne Aurore Faivre brandit celui d’un théâtre qui ose et qui place l’humain au centre.
“Il faut rester punk dans l’âme” – Cherchez l’enfant avec Fréderic Polier
Acteur, metteur en scène, raconteur d’histoires et tricoteur de fictions, Frédéric Polier continue de croiser le fer pour un théâtre généreux et rebelle.
Daniel Vouillamoz: “Nous vivons l’époque du théâtre selfie”
Avec l’amour, la haine n’est jamais très loin. Acteur, auteur, metteur en scène mais aussi musicien, Daniel Vouillamoz effeuille volontiers la marguerite quand il parle de théâtre, cet « art pathétiquement inutile et pourtant essentiel ».
Gilles Tschudi: “C’est vrai, je ne connais pas de barrière”
Acteur puissant et subtil, Gilles Tschudi n’hésite pas à se mettre à nu, comme dans « Souterrainblues », mis en scène par Maya Bösch il y a près de dix ans au Grütli. Mais l’homme dévoile volontiers aussi ce qui « l’agit » et dresse ici une véritable métaphysique du jeu.
Jean-Luc Borgeat: “Le personnage, je ne sais pas ce que c’est”
Acteur, metteur en scène, écrivain, Jean-Luc Borgeat ne boude la parole que lorsqu’il se pose au bord d’un cours d’eau pour pêcher à la mouche.
Théâtre des Osses, théâtre de chair
On prend les chemins de traverse jusqu’à Givisiez pour y rencontrer Geneviève Pasquier et Nicolas Rossier. Leur nouvelle saison regarde la planète en face.
Sarah Marcuse: Tribulations avignonnaises
En 2018, la comédienne et metteure en scène genevoise Sarah Marcuse s’est frottée au Festival Off. Elle en rapporte un témoignage fort que nous reproduisons ici avec son aimable autorisation.
Carole Epiney, névrosée à temps partiel
Elle était impeccable dans « Les névroses sexuelles de nos parents ». La valaisanne Carole Epiney affronte les aléas de la vie de comédienne romande avec une belle énergie.
On ne peut pas être aimé par tout le monde
Difficile, l’exercice du casting? Pour comedien.ch, Nathalie Chéron, trente ans à chercher la perle rare, livre quelques « trucs » pour faire baisser la pression.
Il y a plus de compagnies que de films
Critique à la Tribune de Genève, Pascal Gavillet est un habitué du cinéma suisse, dont il connait bien les mécanismes. On fait le point avec lui.
Serge Martin cultive l’esprit d’équipe
Pour celui qui a créé sa propre école à Genève il y a maintenant plus de 30 ans, le théâtre reste une histoire de partage.