L’Empire des signes
Ils sont là, œuvrant dans les angles morts pourtant grouillant de vie ; sur le plateau, suspendus dans les cintres, s’affairant dans les coulisses, les ateliers ou dans les loges. Doté.e.s de savoirs-faire uniques, ces magicien.ne.s de l’ombre mettent leurs compétences et leur créativité au service du spectacle, des acteur.ice.s et du public.
Sans eux, rien n’advient. Pourtant leur parole est rare. Cette méconnaissance des métiers fondamentaux du théâtre et du cinéma est une hérésie.
L’Empire des signes vous propose de basculer back-stage pour faire connaissance avec ces artisans, technicien.ne.s et concepteur.ice.s souvent anonymes qui officient pour que la forme rencontre le(s) sens.
Le témoignage d’un.e comédien.ne offrira un bref contre-point sur ces pratiques méconnues.
Thomas Hempler,
Directeur technique, régisseur général et créateur lumière
Le dernier acte du feuilleton d’articles L’Empire des signes souhaite mettre à l’honneur une corporation qui incarne l’ingéniosité des métiers scéniques.
Au même titre que les acteur.ice.s, les technicien.ne.s agissent en direct mais en toute discrétion au moment où le spectacle se prépare puis se joue. Au son, à la lumière, au plateau ou à la vidéo, qu’ils soient régisseur.eu.ses ou directeur.ice.s techniques, ils s’affairent en 1ère ligne et sur tous les plans.
Sous les cintres, sur le pont, entre une perche et un pendrillon, ils drainent toute une gestique et un lexique spécifiques dans le sillon de leurs professions, avant-pendant-après la représentation. Soin, minutie, endurance, perspicacité, expertise, patience, pragmatisme, réactivité et fiabilité caractérisent les qualités requises pour opérer petites et grandes manipulations, pour construire, visser, brancher, fixer, miser, vérifier, toper, tapser, régler, implanter, programmer mais aussi accueillir, préparer, prévenir, observer, écouter, analyser, conseiller, budgéter, planifier, coordonner, sécuriser, superviser et accompagner.
La liste semble longue mais elle n’est pourtant pas exhaustive, tant le champ d’action est vaste.

Thomas Hempler est l’un de ces Atlas de l’ombre qui depuis 35 ans, porte sur ses épaules des micro-mondes théâtraux. Le milieu artistique romand connaît bien sa bouille de baroudeur et son bagou tant il a vogué dans les théâtres genevois, les festivals et évènements d’envergure. Il a aussi beaucoup vogué sur l’eau car Thomas a la bougeotte. C’est sans doute parce qu’il ne s’assoupit jamais, qu’il entretient le fiévreux désir de faire, de sourire et de vivre. Encore et encore, son regard bleu d’océan Atlantique – celui-là même qu’il traversa à la voile – s’émerveille quand il parle de la vie, du boulot, des amis, des emmerdes.
Ayant côtoyé Thomas depuis ses débuts, la comédienne, porteuse de projet et co-directrice du Théâtre de l’Orangerie, Céline Nidegger nous offre son témoignage comme précieux contre-point.
Article signé Laure Hirsig
Comment le théâtre est-il entré dans votre vie ?
Adolescent, j’étais du genre très vivant. Je jouais de la guitare classique, j’avais beaucoup de facilités, mais je n’étais pas très scolaire. Pour être sûr d’obtenir la Maturité, je suis allé m’enfermer chez les curés, à l’internat de Saint-Maurice. Je l’ai eue ! À 21 ans. Ensuite, j’ai fait une incursion à l’Uni en philo, musicologie et allemand mais j’aurais aussi pu me lancer dans un apprentissage en menuiserie. L’appel du large m’a fait lâcher l’Uni pour traverser l’Atlantique à la voile. J’avais besoin d’aventures, de voyages, de rencontres. Contre toute attente, c’est alors que je travaillais comme serveur à Carouge que le théâtre m’a percuté de plein fouet. Pas mal de techniciens, qui travaillaient au Théâtre de Carouge alors dirigé par Georges Wod, fréquentaient les bistrots du quartier. Un jour, je suis allé donner un coup de main sur un décor. Ma nature jusque-là tiraillée entre l’intellectuel, l’artistique et le manuel, a trouvé au théâtre une sorte de fusion magique de ces trois domaines. J’avais 23 ans, nous étions à la fin des années 80 et j’intégrais l’équipe technique du Théâtre de Carouge aux côtés de Jean-Marc Serre et Rinaldo Del Boca. Parallèlement, j’ai aussi commencé des missions en free-lance pour le Théâtre Mobile.

Denis Maillefer en répétition avec Roland Vouilloz et Vincent Fontannaz©Magali Dougados

“Love Story Superman”, de Massimo Furlan © Loncarevic
Je trouve assez sain de bouger, pour que les arts vivants restent vivants.
Vous êtes-vous formé dans une école ? Ou sur le terrain ?
Exclusivement sur le terrain. Une place s’est libérée au Théâtre du Grütli, durant les années dingues de Bernard Meister. J’y ai fait mes armes pendant 5 ans, de 1990 à 1995, avec Jean-Michel Broillet, Directeur technique, qui m’a pris sous son aile. Dès qu’un créateur lumière ou un créateur son intéressant venait, il me faisait travailler avec. Je dois beaucoup à Jean-Michel.
Je n’ai jamais aimé me sédentariser. J’ai toujours eu besoin de nouveaux défis pour continuer à apprendre et je trouve assez sain de bouger, pour que les arts vivants restent vivants. Durant mes années au Grütli, les rencontres avec Denis Maillefer et Massimo Furlan se sont révélées déterminantes. Denis m’a donné l’opportunité de devenir créateur lumière pour lui sur ses projets Léonce et Lena, La Cerisaie ou encore Bérénice. Parallèlement, je faisais des régies générales à La Comédie de Genève. À un moment donné, j’ai basculé davantage dans l’univers de Massimo. J’ai créé les lumières de Live me / Love me, son premier spectacle à L’Arsenic pendant Les Urbaines. Par la suite, j’ai participé au 1er match de foot au stade de la Pontaise, en tant que performer à Superman, mais aussi à Gran Canyon Solitude. Les créations avec Massimo étaient de purs moments de plaisir, d’éclats de rires… et de bonheur au sein d’une équipe de rêve. Selon les projets de Massimo, j’étais éclairagiste ou constructeur. J’ai même été habilleur pour 1973. Un magnifique souvenir de cette période est la tournée du spectacle Sono qui per l’amore avec mon fils Eliott, qui jouait le rôle du « Petit Prince ».
Puis, Anne Bisang est arrivée à La Comédie de Genève et j’ai été sollicité pour en assurer la Direction technique. Je n’avais que 34 ans et ne me sentais pas légitime. Le défi était immense et la première année n’a pas été de tout repos, mais je suis finalement resté 8 ans, jusqu’en 2007 tout en faisant encore un peu de création à côté. Ce furent de très belles années, intenses. Gérer La Comédie de Genève permet d’apprendre à connaître l’ensemble des secteurs de la création théâtrale. Mais, une fois que tu as été Directeur technique d’une telle institution, on ne te propose plus que de gros projets. En 2008, j’ai travaillé dans l’évènementiel pour L’Eurofoot, les 450 ans de Calvin aux Bastions, puis le festival de films Visions du réel de Nyon durant 3 ans.
Nouveau rebondissement en 2012 ; je me présente un peu par hasard, suivant les conseils d’un ami, à la RTS*. À mon grand étonnement je suis choisi et deviens cadre ! Un monde très différent du théâtre s’ouvre à moi au sein d’une entreprise gigantesque. J’arrivais à 7h pour répondre à une avalanche d’emails, avant d’entrer en réunion à 9h, pour n’en sortir que vers 17h. Après 6 mois, j’ai failli partir. J’aurais dû car rester m’a littéralement fracassé. Pendant 4 ans, je n’ai parlé que productivité et efficience. N’étant jamais vraiment en accord avec les orientations de l’entreprise, j’ai envoyé une lettre de démission en 2015 et, étrangement, c’est à ce moment-là que je me suis effondré ; une fois que j’avais annoncé mon désir de partir. Là, je suis tombé malade. Comme je gagnais extrêmement bien ma vie, j’avais franchi la ligne rouge, et j’ai dû partir sur les routes de Saint-Jacques de Compostelle pour me retrouver, me recentrer et faire le point. À mon retour, j’ai rejoint le festival de La Cité comme Directeur technique pendant 3 ans, sous la direction de Myriam Kridi. La Cité est probablement le plus beau festival du monde. La qualité de programmation en théâtre, danse et musique, tout cela gratuitement dans l’espace urbain lausannois ; c’est dingue. En 2018, je décide de défendre le projet de Sandrine Kuster à la Maison Saint-Gervais où je suis nommé à la Direction technique. J’y intègre un théâtre à dimension humaine avec une belle programmation et une super équipe. Nous avons œuvré à ramener ce théâtre au 21ème siècle en termes d’équipement technique et de réseau scénique. En 2022, La perte de mon fils Malo, m’a amené à quitter mes fonctions de Directeur technique et à revenir à mes premières amours : le plateau. Lorsque j’étais Directeur technique, mon combat était d’inculquer à mes équipes le respect de l’artiste, comme priorité absolue. Je voue une réelle admiration à ceux qui se mettent face au public pour leur raconter une histoire. Je suis donc aujourd’hui parfaitement heureux d’y être revenu pour la fin de ma carrière.
Un.e Directeur.ice technique est le trait d’union entre l’intellectuel qui conçoit le spectacle, les artistes au plateau et les technicien.ne.s.
Comment définir la Direction technique ?
Selon moi, un.e Directeur.ice technique doit être un trait d’union entre l’intellectuel qui conçoit le spectacle c’est-à-dire le ou la metteur.e. en scène, les artistes comédien.ne.s au plateau et les technicien.ne.s. Chacun tient un bout du pinceau et ensemble, nous tentons de réaliser le tableau. Ton rôle consiste à créer le liant entre les différents secteurs, à donner les moyens humains et techniques adaptés à chaque production. Ce ne sont pas forcément tes compétences techniques qui font de toi un bon Directeur technique. Par contre, ta capacité à t’entourer des bonnes personnes est essentielle. Il existe de grandes différences de cahier des charges d’un pays à l’autre. En France, le Directeur technique est lié à la direction artistique et administrative. Il gère le « haut du panier », la sécurité et l’amélioration du bâtiment, les budgets et ressources humaines concernant l’infrastructure et la technique, l’organisation et de la planification des équipes techniques, mais il n’agit pas directement au plateau. En Suisse, nous sommes actifs sur le terrain, comme des Régisseurs généraux de luxe et nous ne bougeons pas nécessairement quand la direction artistique change.

“Les Filles et les Garçons”, de Massimo Furlan©Pierre Nydegger et Laure Ceillier
En Suisse, il n’existait aucune formation à mon époque (…) C’est pour cela que la formation est devenue l’une de mes marottes.
Quelles sont les aspects de votre métier que vous appréciez le moins ?
L’élaboration des plannings (rires). Le plateau mobilise des savoirs et des technologies pointus, en permanente évolution. Tu côtoies les artistes. Tout est vivant. Mais tu dois ensuite te taper un tête-à-tête avec ton tableau Excell pour établir les budgets, élaborer les plannings. Personnellement, je mets une philosophie derrière chaque tâche car j’aime être au service de l’humain, des productions et du théâtre, même si ces aspects administratifs du métier m’intéressent moins. Cela étant dit, être revenu au plateau l’année dernière me rend heureux. Et puis, j’aime m’investir pour les émergents, les jeunes compagnies. J’aime les aider, les driver. Oscar Gomez Mata fait cela avec sa compagnie L’Alakran comme regard extérieur et conseiller en production. Moi, je fais cela sur le plan technique avec une forme de paternalisme, mais au bon sens du terme. J’essaie être une figure à laquelle ils peuvent se rattacher, se référer et les rassurer. J’essaie aussi de faire travailler les gens intelligemment. Mise à part la période RTS, je crois m’être levé tous les matins heureux de faire ce métier.
Êtes-vous attentif à la transmission de vos savoir-faire ?
Très. Ayant passablement tourné en France, j’étais fasciné par le niveau d’expertise des régisseurs. Le sondier était un vrai spécialiste du son, l’électro vraiment électro, le pupitreur vraiment pupitreur. Tous avaient de grosses compétences. En Suisse, il n’existait aucune formation à mon époque. Le métier se transmettait de personne à personne, exclusivement sur le terrain. C’est pour cela que la formation est devenue l’une de mes marottes. Il a fallu tout construire. Sur ce plan-là, nous avons été plus rapides que les Suisses allemands. C’est donc le brevet fédéral romand qui a fait foi, sachant que la première volonté était de faire reconnaître le métier en matière d’intermittence auprès du chômage. Par la suite, les Suisses allemands ont pris les devants sur la formation initiale, le CFC de techniscéniste pour lequel Artos m’a sollicité dans la phase de finalisation, sans doute partiellement parce que je suis bilingue. Ils m’ont envoyé à Zurich pour revoir et reformuler les exigences. S’agissant d’une formation initiale que l’on peut commencer à 16 ans, le but est d’acquérir une vue d’ensemble, de généraliste. La spécialisation vient dans un 2ème temps. Parmi les nouveaux chantiers, Artos a récemment lancé une formation continue lumière et une en régie générale. C’est super !
Continuez-vous la musique ?
J’ai fait beaucoup de guitare classique jusqu’à 20 ans. Étant devenu père assez jeune (25 ans), j’ai développé plutôt le style Henri Dès pour mes enfants (rire). J’ai écrit et improvisé des chansons pour eux. Aujourd’hui, ils chantent quelques-unes de mes tubes phares à leurs propres enfants, c’est trop joli. Je n’ai pas de fortune, pas de maison, rien, mais j’ai une guitare à leur léguer. Je crois que c’est l’objet paternel le plus convoité. Mais un instrument se partage difficilement. Peut-être faut-il que je la casse pour la diviser en quatre, avant de casser ma pipe… ?
Estimez-vous votre métier reconnu à sa juste valeur ?
A-t-on vraiment besoin de reconnaissance ? J’ai toujours assumé les contrats que je signais. Je n’ai pas à me plaindre, car j’ai plutôt bien gagné ma vie. Je n’ai jamais eu besoin de chercher du travail, ni même d’envoyer un CV, sauf pour la télévision. J’ai la chance de n’avoir jamais souffert. La collaboration avec Anne Bisang a été admirable, cela s’est bien passé avec Myriam Kridi au Festival de la Cité. On m’a toujours laissé carte blanche.

“Love Story Superman”, de Massimo Furlan © Loncarevic
Je pense aimer suffisamment l’être humain pour ne pas avoir peur de me confronter à lui en lui disant ce qui me tient à cœur.
Quelles valeurs défendez-vous ?
Je suis honnête. Ma philosophie de vie consiste à ne jamais laisser de place aux non-dits. Si quelque chose bloque avec quelqu’un, j’aime pouvoir en discuter le plus rapidement possible, parce que ça lui permettra, comme à moi, d’avancer. Je pense aimer suffisamment l’être humain pour pas avoir peur de me confronter à lui en lui disant ce qui me tient à cœur.
Cela n’a sans doute pas toujours été évident, étant donné la tradition helvétique du consensus ?
Je dois mon franc-parler en grande partie à mes origines allemandes. Mon père vient de Cologne, ma mère de Wuppertal. Ils se sont rencontrés ici, puis mariés ici. Je suis né à Genève. Ma sœur et moi y avons grandi. Genève était sur la route vers le Sud au départ de l’Allemagne. Mes cousins allemands hippies s’arrêtaient chez nous avec leurs amis quand j’étais ado. Ils avaient environ 10 ans de plus que moi, ils étaient tous étudiants de Marburg, gauchistes, chevelus, fumeurs de pétards, à l’époque de la RAF** de Baader-Meinhof. Je passais des soirées et des nuits à discuter philo et politique avec tout ce petit monde intello à la maison. Mon père était imprimeur et ma mère secrétaire de direction. Ils n’exerçaient pas des professions intellectuelles mais ils étaient curieux et ouverts. Je n’ai jamais entendu mon père dire un mot méchant sur un être humain. Je ne sais pas s’il y a beaucoup d’enfants qui peuvent dire ça de leurs parents. Ces jeunes venaient chez mes parents, parce qu’ils avaient de la peine à discuter avec les leurs. Dans un style plus frontal, je pense être un bon mix entre ma mère de nature plutôt émotionnelle et mon père ultra-tolérant. Bien qu’ayant grandi ici, je suis différent des Suisses et j’attribue cette différence au fait d’être Allemand. Cette différence s’est aussi construite dans la souffrance. Naître Allemand 20 ans après l’Holocauste n’a pas été facile. Se faire traiter de nazi par tes camarades d’école quand tu as 10-12 ans juste parce que tu es Allemand… c’est extrêmement violent et laisse des traces. Dans les années 60 et 70 en France, quand nous étions mes parents et moi devant un Monument aux morts de la seconde guerre mondiale, nous n’avions pas envie de crier haut et fort que nous étions Allemands. Vivre l’épreuve d’être un jeune Allemand en francophonie à une époque encore délicate, initié tôt à l‘injustice, m’a permis d’apprendre à être tolérant.
Du coup, je suis devenu un adulte très fâché avec la culpabilité. Je ne veux plus me sentir coupable et j’empêche les autres de se sentir coupables, même quand ils font une connerie. Je pardonne 12 fois plutôt que de convoquer cette satanée culpabilité. De toutes façons, celui qui fait la connerie se sent souvent plus mal que celui qui la subit. Rien d’épanouissant ne se construit sur la culpabilité. Je suis un fervent opposé au verdict du jugement dernier.
Cette épreuve m’a aussi appris qu’avoir des faiblesses est une force. On a le droit d’être fragile, de commettre des erreurs et de s’excuser. Moi, je montre volontiers mes failles. J’estime même que c’est une force de savoir mettre les gens à l’aise avec ce que l’on pourrait considérer comme un défaut. Montrer sa fragilité plutôt que sa force est souvent une porte d’entrée qui laisse la possibilité à l’autre de connaître la vérité, mais aussi de montrer ses propres faiblesses.
Ces valeurs acquises dans l’enfance sont-elles des valeurs essentielles dans votre métier ?
Pour les gens de ma génération, quelque chose lie le travail et la vie. J’ai la sensation qu’aujourd’hui, les pratiques sont différentes. Les jeunes sont extrêmement efficaces pendant les 8 heures consacrées au boulot mais c’est le temps libre qui est important pour eux. Chez moi tout est imbriqué : l’amour de mon métier, mon investissement personnel, le fait de rester plus tard pas seulement s’il le faut mais aussi parce que j’en ai parfois envie… Il est primordial d’aimer son métier parce qu’il accapare une grande part de la vie. Bien sûr, il y a des métiers plus difficiles que d’autres mais je reste persuadé que l’on peut tous les valoriser. La concordance humaine avec la pratique professionnelle est essentielle. Devenir prof à 25 ans, alors que tu commences à peine ta vie d’adulte me semble difficile. On lâche les jeunes quasi du jour au lendemain dans le monde professionnel, qui peut être, à certains égards, hostile. Ils ne sont pas toujours prêts et tombent dans les pièges humains. Certains métiers exigent de la maturité.
C’est une chance énorme d’avoir une partenaire de vie comme la mienne. Une vie de couple sereine permet beaucoup de choses.
Un dernier mot ?
Notre discussion me rappelle que la vie est intense, dense, magnifique, mais cela ne se fait pas seul. Véro, ma compagne de vie, est exceptionnelle. Nous nous sommes rencontrés sur une production de Denis Maillefer au milieu des années 90. Elle me rend plus solide, apaisé. Elle est entière, confiante. Elle n’a pas besoin de moi pour vivre. Nous jouissons tous deux d’une grande liberté. C’est une chance énorme d’avoir une partenaire de vie comme elle. Une vie de couple sereine permet beaucoup de choses. L’autre doit être un compagnon de route, et ne se placer ni au-dessus, ni en-dessous de toi, mais juste à côté. Véro m’a appris que cela était possible à vivre !
* RTS : Radio Télévision Suisse.
** RAF : Rote Armee Fraktion / Armée Rouge est un groupe terroriste d’extrême-gauche qui a opéré en Allemagne de l’Ouest de 1970 à 1998. Deux de leurs principaux dirigeant.e.s étaient Andreas Baader et Ulrike Meinhof.

Contre-point – Céline Nidegger
Comédienne, porteuse de projet, co-directrice de théâtre
Qu’est-ce qui vous a marquée professionnellement chez Thomas Hempler ?
Merci de me donner l’occasion de parler de ce grand bonhomme que j’apprécie beaucoup et que je côtoie depuis mes débuts au théâtre. Nous vieillissons ensemble ! Thomas m’a surtout marquée par son sens de l’accompagnement, son regard artistique et bienveillant sur les projets, notamment sur la jeune création. Il est un réel accompagnateur, un relai technique bien sûr, mais aussi artistique. C’est une chance de réaliser un projet à ses côtés.
En tant que comédienne, porteuse de projet et co-directrice du Théâtre de L’Orangerie (TO), quelle importance accordez-vous à la technique ?
Lorsque je suis interprète, j’interagis au mieux afin que le travail soit le plus cohérent possible mais je ne fais pas intrusion dans les questions techniques, étant mobilisée et concentrée sur le jeu.
En tant que porteuse de projet, j’aime collaborer avec l’équipe impliquée sur le projet. Chacun.e devient essentiel.le et va m’offrir l’opportunité de réaliser concrètement les choses rêvées en amont. Techniquement, je m’entoure de personnes très qualifiées car je n’ai aucune compétence sur ce plan-là. J’accorde une grande écoute et du temps de travail au plateau aux concepteur.ice.s et régisseur.euse.s.
En tant que co-directrice du TO, l’importance octroyée à la technique est immense. Le Directeur technique, Cédric Caradec est la 1ère personne avec laquelle Bastien Semenzato et moi discutons pour déterminer si un projet est faisable ou non. Il est notre collaborateur, notre allié et celui qui permet que les choses aient lieu. La part technique s’avère d’autant plus importante que L’Orangerie ne bénéficie pas d’un équipement considérable. Le site est merveilleux mais exige des talents de bricoleur. L’ensemble des technicien.ne.s travaillent dur pour que l’on puisse y proposer de beaux spectacles au public.
A lire aussi

Adrien Barazzone, les frissons d’un Premier de cordée
« Selon moi, jouer c’est trouver la bonne distance, avec son propos, son personnage et le public. »
Entretien signé Laure Hirsig

Sabine Timoteo, danser vers le dedans
“A l’origine, danser, c’était la joie de me sentir vivante.”
Entretien signé Delphine Horst

Valerio Scamuffa : une poétique de l’échappée
“S’il y a un art fantomatique, c’est peut-être bien le théâtre. ”
Entretien signé Marie Lou Félix

Nicolas Müller – L’Art du décalage
« Je me rappelle de ces sensations de liberté et de soulagement durant les premiers spectacles. Cet espace qui s’ouvrait, s’éveillait, demeure la raison pour laquelle je pratique le théâtre aujourd’hui. »
Entretien signé Solange Schifferdecker

Igaëlle Venegas, auto-métamorphoses…
“J’aime l’idée de découvrir quelque chose qui est déjà là, en moi, et de lui permettre de se manifester librement en jouant.”
Entretien signé Stella LO PINTO

Jean Liermier, rencontre entre quatre yeux et deux casquettes
« Si je pars maintenant, ce n’est pas par gaité de cœur ni parce que je suis lassé. Je ne sais même pas ce que je vais faire après. Mon intérêt personnel n’a rien à voir avec cette décision. Je pars parce que je pense que c’est le moment. »
Entretien signé Laure Hirsig

Tatiana Baumgartner à vif et sans fard
“J’ai découvert que j’aimais écrire du théâtre. Les dialogues, les interactions, double sens et sens cachés dans ce que les gens disent. La manipulation derrière le langage.”
Entretien signé Delphine Horst
![Entretien avec Toni Teixeira, créateur costumes – L’Empire des signes [Acte 4]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2024/12/01-Toni-Teixeira@Michael-Gabriel-1.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Entretien avec Toni Teixeira, créateur costumes – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig

Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (II)
Entretien signé Laure Hirsig

Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (I)
Entretien signé Laure Hirsig

Pierre Monnard, le cinéma et ses multiples ingrédients
Propos recueillis par Sami Kali
![Dorothée Thébert, photographe de plateau – L’Empire des signes [Acte 4]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2024/09/01-Dorothee-Thebert©Nora-Teylouni-scaled.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Dorothée Thébert, photographe de plateau – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig

« 200 francs, ça suffit ! » : Danger pour la RTS, la culture et la fiction
Propos recueillis par François Marin

Cyprien Colombo La vie n’est pas un long flow* tranquille
Article signé Laure Hirsig

Wave Bonardi et Julia Portier : Vertige de l’humour
Entretien signé Marie Lou Félix

Davide Brancato, king of the glam – Ubiquité (acte VII)
Entretien signé Laure Hirsig

Dominique Bourquin, les angles pas droits
Propos recueillis par Delphine Horst

Leon Salazar, le charme de l’ambivalence – Ubiquité (acte VI)
Entretien signé Laure Hirsig

Yvette Théraulaz : un peu, beaucoup ; à l’infini
Propos recueillis par Marie Lou Félix
![Entretien avec Danielle Milovic – L’Empire des signes [Acte 3]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2024/04/03-Tania-De-Paola-dans-_Le-jardin-de-la-grosse-dame_©Danielle-Milovic.jpg?resize=1000%2C666&ssl=1)
Entretien avec Danielle Milovic – L’Empire des signes [Acte 3]
Entretien signé Laure Hirsig

Arcadi Radeff, la quête instinctive
Propos recueillis par Sami Kali

Maurice Aufair, acteur découvreur
Propos recueillis par Marie-Lou Félix
![Entretien avec Amélie CHÉRUBIN – Ubiquité [Acte 5]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2024/03/07-_La-Methode-Gronholm_-Cie-Magnifique-Theatre©Guillaume-Perret.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Entretien avec Amélie CHÉRUBIN – Ubiquité [Acte 5]
Entretien signé Laure Hirsig
![Entretien avec Pierre Audétat – L’Empire des signes [Acte 2]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2024/02/Pierre-Audeta-2013t©Sebastien-Kohler-scaled.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Entretien avec Pierre Audétat – L’Empire des signes [Acte 2]
Entretien signé Laure Hirsig

DIANE ALBASINI : Une Artiste aux Mille Facettes
Entretien signé Anne Thorens

Entretien avec Charlotte Chabbey, l’esprit collectif
Propos recueillis par Sami Kali

Entretien avec CAMILLE MERMET, son pluriel des familles
Propos recueillis par Delphine Horst
![Entretien avec avec Déborah Helle – L’Empire des signes [Acte 1]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2024/01/Deborah-Helle©Neige-Sanchez-scaled.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Entretien avec avec Déborah Helle – L’Empire des signes [Acte 1]
Entretien signé Laure Hirsig
![Entretien avec avec Stéphane Rentznik- Ubiquité [Acte IV]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2023/12/Derrière-les-maux_©PhilippePache.-jpg-scaled.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Entretien avec avec Stéphane Rentznik- Ubiquité [Acte IV]
Entretien signé Laure Hirsig
![Entretien avec Anna PIERI ZUERCHER – Ubiquité [Acte III]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2023/12/tournage-série-_Tatort_©Sava-Hlavacek-1.jpg?resize=1000%2C667&ssl=1)
Entretien avec Anna PIERI ZUERCHER – Ubiquité [Acte III]
Entretien signé Laure Hirsig

Djemi Pittet Sané: Respirer à la Racine
Propos recueillis par Marie Lou Félix
![Entretien avec Nastassja Tanner – Ubiquité [Acte II]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2023/10/01-photo-tirée-du-film-_Dévoilées_-de-Jacob-Berger©DR.png?resize=1080%2C675&ssl=1)
Entretien avec Nastassja Tanner – Ubiquité [Acte II]
Entretien signé Laure Hirsig

Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.

Nicole Borgeat, serial thrilleuse
Portrait de la réalisatrice signé Laure Hirsig,

Entretien avec Marie Ripoll
Entretien signé Laure Hirsig
![Entretien avec Wissam Arbache ¦ Ubiquité [Acte I]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2023/08/photo-de-lopéra-_Robert-Le-Diable_©Viktor-Viktorov-scaled.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Entretien avec Wissam Arbache ¦ Ubiquité [Acte I]
Entretien signé Laure Hirsig
![Claire Darnalet et Yvan Rihs | Le génie des ingénu.e.s [Acte IV]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2023/01/projet-Astroland©AlinePaley-scaled.jpg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Claire Darnalet et Yvan Rihs | Le génie des ingénu.e.s [Acte IV]
Pour clore le feuilleton Le Génie des ingénu.e.s (IV), la parole passionnée de Claire Darnalet, 21 ans, élève en 1ère année à La Manufacture* […]
![Valeria Bertolotto et Tobia Giorla ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte III]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2022/12/Tobia-Giorla©Dennis-Mader-scaled.jpeg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Valeria Bertolotto et Tobia Giorla ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte III]
Entretiens signés Laure Hirsig

Safi Martin-Yé bouillonne de cultureS
Portrait de la comédienne signé Laure Hirsig,
![Lokman Debabeche et Nathalie Lannuzel ¦ Le génie des ingénu.e.s” [acte II]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2022/09/©Lokman-Debabeche.jpeg?resize=1080%2C675&ssl=1)
Lokman Debabeche et Nathalie Lannuzel ¦ Le génie des ingénu.e.s” [acte II]
Suite du feuilleton avec Lokman Debabeche. À 23 ans, il démarre sa 3ème année à l’école des Teintureries de Lausanne, enrichi par un parcours personnel qui associe turbulence et sagesse […]

Laurence Perez: Scène suisse, un pont pour danser en Avignon
L’an prochain, Laurence Perez cédera les rênes de « Sélection suisse en Avignon » à Esther Welger-Barboza. En attendant, l’actuelle directrice artistique et exécutive couve une ultime volée dont elle défend avec détermination la singularité.
![Liv Van Thuyne et Serge Martin ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte I]](https://i0.wp.com/blog.comedien.ch/wp-content/uploads/2022/07/Serge-Martin-photo-du-spectacle-Copies©Olivier-Carrel-2.jpeg?resize=640%2C427&ssl=1)
Liv Van Thuyne et Serge Martin ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte I]
Pour inaugurer ce feuilleton, je m’entretiens avec Liv Van Thuyne, 22 ans, élève de 1ère année à l’école Serge Martin. Malgré son jeune âge, elle s’est déjà frottée au large spectre des arts, sensible aux subtilités qu’offre chacun d’eux. En écho, la magie de la pensée concentrée du maître Serge Martin, qui dit tant en si peu de mots.

Le théâtre-zèbre de Marielle Pinsard
Marielle Pinsard m’a offert mon premier plongeon théâtral. Alors que l’année 2001 allait s’éteindre, Marielle mettait le feu aux poudres avec Comme des couteaux, pièce dont elle était à la fois l’auteure et la metteure en scène.

Michel Vinaver, homme de l’être
Dramaturge et écrivain, mais aussi ancien chef d’entreprise, Michel Vinaver s’est éteint ce 1er mai à 95 ans. En hommage, les extraits d’un entretien accordé il y a quelques années.

Bienvenue dans la 4e dimension de Lucas Savioz! – Rétrofuturiste (VI)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce sixième volet, on traverse l’écran en compagnie de Lucas Savioz.

Faim de séries? La RTS mijote petits et grands plats…
Pandémie ou pas, la loi des séries continue de s’imposer en Suisse comme ailleurs. Entre audaces calculées et contraintes diverses, la RTS trace sa voie dans un univers qui est aussi synonyme d’emplois.

Guillaume Prin, pour un théâtre nomade fait maison – Rétrofuturiste (V)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce cinquième épisode, on embarque à bord du camion-théâtre de Guillaume Prin.

Jean-Louis Johannides, into the wild – Rétrofuturiste (IV)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce 4e volet, on part à la conquête des grands espaces aux côtés de Jean-Louis Johannides.

Alain Borek fait jeu de tout bois – Rétrofuturiste (III)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Ce troisième volet donne la parole au comédien Alain Borek.

Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.

Lucie Zelger ou l’art du contrepoint – Rétrofuturiste (I)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Un voyage des racines jusqu’à l’horizon qu’inaugure la comédienne Lucie Zelger.

Mali Van Valenberg se mêle au vent
Série “J’ai deux amours” (VI). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour cet ultime volet, Laure Hirsig parle écriture avec Mali Van Valenberg.

Alexandra Marcos, voix double
Série “J’ai deux amours” (V). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce nouveau volet, Laure Hirsig suis les “voies” d’Alexandra Marcos.

Paroles de scénaristes : où en est la Suisse?
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.

La Manufacture: la conquête de l’espace
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.

Sébastien Ribaux, l’amour de la psyché
Série “J’ai deux amours” (IV). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile le “double je” de Sébastien Ribaux.

Delphine Lanza, au Pays des merveilles
Série “J’ai deux amours” (III). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile les “multiples palettes” de Delphine Lanza.

Noémie Griess, au plateau et au micro
Série “J’ai deux amours” (II). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce deuxième volet, Laure Hirsig échange avec Noémie Griess sur ce “double jeu”.

Garance La Fata, l’esprit boomerang
Série “J’ai deux amours” (I). Parce que la vie ne s’arrête pas à la scène, certain.e.s comédien.ne.s s’emploient à jouer un rôle bien ancré dans le réel. Pour ce volet inaugural, Laure Hirsig échange avec Garance La Fata sur ce “double jeu”.

Joël Hefti, portrait extérieur
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce sixième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Joël Hefti.

Roberto Garieri, de chair et de mots
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce cinquième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Garieri.

Le parler swing de Roberto Molo
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce quatrième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Molo.

Djamel Bel Ghazi, tempête sous un crâne
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce troisième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Djamel Bel Ghazi.

Aux Teintureries, Nathalie Lannuzel fait “bouger les lignes”
Ouverte en 1997 sous l’impulsion de François Landolt, l’école supérieure de théâtre Les Teintureries à Lausanne cultive l’altérité et valorise l’audace. Rencontre avec sa directrice artistique, Nathalie Lannuzel.

Xavier Loira, dandy cash
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce deuxième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Xavier Loira.

Boubacar Samb, sentinelle sans tabou
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce premier volet d’une série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien d’origine sénégalaise, Boubacar Samp.

Carlo Brandt, l’homme renversé (II)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Second et dernier chapitre d’un entretien sans fard.

Carlo Brandt, l’homme renversé (I)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Premier chapitre.

Julia Perazzini chatouille l’invisible – Fatal(e)s VI
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce dernier volet, elle se laisse entraîner par la comédienne Julia Perazzini dans les limbes de l’enfance.

Isabelle Caillat au coeur de la crise
La comédienne genevoise s’impose en femme de tête et de coeur dans « Cellule de crise », nouvelle série signée Jacob Berger qui nous dévoile les arcanes de l’humanitaire. Entretien à la veille de la diffusion.

Prune Beuchat, comme un ouragan – Fatal(e)s V
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce 5e volet, on croque dans une Prune qui ne compte pas pour des prunes!

Olivier Lafrance, entretien avec un vampire – Fatal(e)s IV
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Le comédien Olivier Lafrance se prête à ce jeu d’ombre.

“Je suis pour les quotas d’auteur.e.s suisses”
A la suite de notre enquête sur le statut de l’auteur.e en Suisse romande, le dramaturge et metteur en scène Julien Mages défend l’idée d’une écriture typiquement “suisse”.

Pour Camille Giacobino, le ciel peut attendre – Fatal(e)s III
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Amour et mort, deux thèmes que fréquente régulièrement Camille Giacobino, comme comédienne ou comme metteuse-en-scène.

Y’a-t-il encore un.e auteur.e dans la salle?
Acteur.trice à la fois central et à part, l’auteur.e d’un spectacle ou d’un film doit composer avec des contraintes qui laissent peu de place à l’ego. Trois d’entre eux/elles nous parlent de leur pratique.

Cédric Leproust, le Garçon et la Mort – Fatal(e)s II
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Au comédien Cédric Leproust de nous entraîner dans le territoire des ombres.

Julia Batinova, l’art de la fougue – Fatal(e)s
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig inaugure une nouvelle série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Première à s’y coller, la comédienne Julia Batinova.

Alain Mudry, colosse au clair de lune
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce sixième “Traversée en solitaire”, on se met sur orbite avec Alain Mudry.

Serge Valletti brise le glas à Avignon
Acteur, auteur, scénariste aux côtés du réalisateur Robert Guédiguian, Serge Valletti a mis du baume aristophanesque sur les plaies du festival avorté. Rencontre.

Arblinda Dauti, la perle noire
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce cinquième “Traversée en solitaire”, on se fait la belle avec Arblinda Dauti.

David Valère, l’homme debout qui met le chaos K.O.
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce quatrième “Traversée en solitaire”, on fend les flots avec David Valère.

Olivia Csiky Trnka, l’extra-terrienne
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce troisième “Traversée en solitaire”, on décolle aux côtés d’Olivia Csiky Trnka.

Raphaël Vachoux, sans peur ni reproche
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce deuxième “Traversée en solitaire”, on embarque aux côtés de Raphaël Vachoux.

Jacques Michel, l’échappée belle
En six décennies de carrière, le comédien a endossé tous les costumes. Acteur dans tous les sens du terme, il a construit une histoire qui déborde la sienne, celle du théâtre romand. Portrait.

Lola Giouse, Miss en tropisme
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude, ses charmes comme sa nocivité dans leur parcours et leur pratique. Pour cette première “Traversée en solitaire”, on largue les amarres avec Lola Giouse.

Françoise Boillat La Dame du lac – Le théâtre dans la peau (VI)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Sixième acte avec la comédienne Françoise Boillat.

Un dernier café avec Michel Piccoli
L’acteur nous a quitté le 12 mai, à l’âge de 94 ans. En guise d’hommage, des extraits inédits d’un entretien accordé à Lionel Chiuch à l’occasion de la tournée de “Minetti”, de Thomas Bernhard.

Julien TSONGAS Préda(c)teur- Le théâtre dans la peau (V)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Cinquième acte avec le comédien Julien Tsongas.

Sandro De Feo Mutant mutin mutique-Le théâtre dans la peau (IV)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Quatrième acte avec le comédien Sandro De Feo.

“Il reste dans la culture une sorte de mépris de classe”
Après un septennat à la tête du GIFF, Emmanuel Cuénod s’apprête à en remettre les clés. Dans un long entretien sans langue de bois, il nous parle du festival genevois et donne quelques coups de griffe à la politique culturelle suisse.

François Revaclier Le spirituel danse l’art – Le théâtre dans la peau (III)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Troisième acte avec le comédien François Revaclier.

Valérie Liengme La créature – Le théâtre dans la peau (II)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Deuxième acte avec la comédienne Valérie Liengme.

Joëlle Fontannaz La magnétique au magnéto – Le théâtre dans la peau (I)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Premier acte avec la comédienne Joëlle Fontannaz.

Monica Budde, la voix libre
D’Andromaque de Racine au personnage de A de Sarah Kane, la comédienne Monica Budde campe des femmes qui, comme elle, ne s’en laissent pas conter. Portrait en toute liberté.

Braqueur de banques!
Alors que la saison 2 de « Quartier des banques » débarque sur les écrans, son réalisateur, Fulvio Bernasconi, nous parle de son rapport aux comédien(ne)s.

“Molière écrit pour sauver les meubles”
Aussi à l’aise chez Molière que chez Ionesco, Michel Bouquet, 94 ans, a voué sa vie aux auteurs. Il les évoque ici.

“L’avantage ici, c’est le Système D”
A la Chaux-de-Fonds, pays des merveilles mécaniques, on croise moins de lapin blanc que de drapeau noir. La comédienne Aurore Faivre brandit celui d’un théâtre qui ose et qui place l’humain au centre.

“Il faut rester punk dans l’âme” – Cherchez l’enfant avec Fréderic Polier
Acteur, metteur en scène, raconteur d’histoires et tricoteur de fictions, Frédéric Polier continue de croiser le fer pour un théâtre généreux et rebelle.

Daniel Vouillamoz: “Nous vivons l’époque du théâtre selfie”
Avec l’amour, la haine n’est jamais très loin. Acteur, auteur, metteur en scène mais aussi musicien, Daniel Vouillamoz effeuille volontiers la marguerite quand il parle de théâtre, cet « art pathétiquement inutile et pourtant essentiel ».

Gilles Tschudi: “C’est vrai, je ne connais pas de barrière”
Acteur puissant et subtil, Gilles Tschudi n’hésite pas à se mettre à nu, comme dans « Souterrainblues », mis en scène par Maya Bösch il y a près de dix ans au Grütli. Mais l’homme dévoile volontiers aussi ce qui « l’agit » et dresse ici une véritable métaphysique du jeu.
Toutes les rencontres
Chloë Lombard : le collectif dans le ventre
” Je crois que je suis très forte pour rebondir sur les idées. Toute seule dans ma cuisine, j’ai du plaisir à travailler mais ça a ses limites. Je pense que personne n’a jamais l’idée du siècle. On ne fait que se piquer des idées et je trouve ça plutôt génial. ”
Entretien signé Marie Lou Félix
Nicolas Rossier – Le plaisir de la curiosité
“Plutôt qu’un rôle, c’est un cheminement. Ce qui m’importe, c’est le parcours que le personnage propose, la façon dont le jeu peut évoluer, ce qu’il provoque. ”
Entretien signé Christine Laville
Alexandra Gentile – Quand l’art du clown se mêle au théâtre
“Avec le clown, il est obligatoire de jouer. Et de traverser ce qu’il y a à traverser. Sillonner les paysages émotionnels, du néant à l’intensité.”
Entretien signé Solange Schifferdecker
Charlotte Filou : Une valse à mille temps
“J’ai l’impression que je peux toucher les gens aussi bien en chantant qu’en parlant, mais que le chemin est moins direct avec un texte parlé. Ça me demande plus de travail et d’introspection. ”
Entretien signé Marie Lou Félix
Adrien Barazzone, les frissons d’un Premier de cordée
« Selon moi, jouer c’est trouver la bonne distance, avec son propos, son personnage et le public. »
Entretien signé Laure Hirsig
Sabine Timoteo, danser vers le dedans
“A l’origine, danser, c’était la joie de me sentir vivante.”
Entretien signé Delphine Horst
Valerio Scamuffa : une poétique de l’échappée
“S’il y a un art fantomatique, c’est peut-être bien le théâtre. ”
Entretien signé Marie Lou Félix
Nicolas Müller – L’Art du décalage
« Je me rappelle de ces sensations de liberté et de soulagement durant les premiers spectacles. Cet espace qui s’ouvrait, s’éveillait, demeure la raison pour laquelle je pratique le théâtre aujourd’hui. »
Entretien signé Solange Schifferdecker
Igaëlle Venegas, auto-métamorphoses…
“J’aime l’idée de découvrir quelque chose qui est déjà là, en moi, et de lui permettre de se manifester librement en jouant.”
Entretien signé Stella LO PINTO
Jean Liermier, rencontre entre quatre yeux et deux casquettes
« Si je pars maintenant, ce n’est pas par gaité de cœur ni parce que je suis lassé. Je ne sais même pas ce que je vais faire après. Mon intérêt personnel n’a rien à voir avec cette décision. Je pars parce que je pense que c’est le moment. »
Entretien signé Laure Hirsig
Tatiana Baumgartner à vif et sans fard
“J’ai découvert que j’aimais écrire du théâtre. Les dialogues, les interactions, double sens et sens cachés dans ce que les gens disent. La manipulation derrière le langage.”
Entretien signé Delphine Horst
Entretien avec Toni Teixeira, créateur costumes – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig
Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (II)
Entretien signé Laure Hirsig
Véronique Mermoud, sa majesté des Osses (I)
Entretien signé Laure Hirsig
Pierre Monnard, le cinéma et ses multiples ingrédients
Propos recueillis par Sami Kali
Dorothée Thébert, photographe de plateau – L’Empire des signes [Acte 4]
Entretien signé Laure Hirsig
« 200 francs, ça suffit ! » : Danger pour la RTS, la culture et la fiction
Propos recueillis par François Marin
Cyprien Colombo La vie n’est pas un long flow* tranquille
Article signé Laure Hirsig
Wave Bonardi et Julia Portier : Vertige de l’humour
Entretien signé Marie Lou Félix
Davide Brancato, king of the glam – Ubiquité (acte VII)
Entretien signé Laure Hirsig
Dominique Bourquin, les angles pas droits
Propos recueillis par Delphine Horst
Leon Salazar, le charme de l’ambivalence – Ubiquité (acte VI)
Entretien signé Laure Hirsig
Yvette Théraulaz : un peu, beaucoup ; à l’infini
Propos recueillis par Marie Lou Félix
Entretien avec Danielle Milovic – L’Empire des signes [Acte 3]
Entretien signé Laure Hirsig
Arcadi Radeff, la quête instinctive
Propos recueillis par Sami Kali
Maurice Aufair, acteur découvreur
Propos recueillis par Marie-Lou Félix
Entretien avec Amélie CHÉRUBIN – Ubiquité [Acte 5]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Pierre Audétat – L’Empire des signes [Acte 2]
Entretien signé Laure Hirsig
DIANE ALBASINI : Une Artiste aux Mille Facettes
Entretien signé Anne Thorens
Entretien avec Charlotte Chabbey, l’esprit collectif
Propos recueillis par Sami Kali
Entretien avec CAMILLE MERMET, son pluriel des familles
Propos recueillis par Delphine Horst
Entretien avec avec Déborah Helle – L’Empire des signes [Acte 1]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec avec Stéphane Rentznik- Ubiquité [Acte IV]
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Anna PIERI ZUERCHER – Ubiquité [Acte III]
Entretien signé Laure Hirsig
Djemi Pittet Sané: Respirer à la Racine
Propos recueillis par Marie Lou Félix
Entretien avec Nastassja Tanner – Ubiquité [Acte II]
Entretien signé Laure Hirsig
Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.
Nicole Borgeat, serial thrilleuse
Portrait de la réalisatrice signé Laure Hirsig,
Entretien avec Marie Ripoll
Entretien signé Laure Hirsig
Entretien avec Wissam Arbache ¦ Ubiquité [Acte I]
Entretien signé Laure Hirsig
Claire Darnalet et Yvan Rihs | Le génie des ingénu.e.s [Acte IV]
Pour clore le feuilleton Le Génie des ingénu.e.s (IV), la parole passionnée de Claire Darnalet, 21 ans, élève en 1ère année à La Manufacture* […]
Valeria Bertolotto et Tobia Giorla ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte III]
Entretiens signés Laure Hirsig
Safi Martin-Yé bouillonne de cultureS
Portrait de la comédienne signé Laure Hirsig,
Lokman Debabeche et Nathalie Lannuzel ¦ Le génie des ingénu.e.s” [acte II]
Suite du feuilleton avec Lokman Debabeche. À 23 ans, il démarre sa 3ème année à l’école des Teintureries de Lausanne, enrichi par un parcours personnel qui associe turbulence et sagesse […]
Laurence Perez: Scène suisse, un pont pour danser en Avignon
L’an prochain, Laurence Perez cédera les rênes de « Sélection suisse en Avignon » à Esther Welger-Barboza. En attendant, l’actuelle directrice artistique et exécutive couve une ultime volée dont elle défend avec détermination la singularité.
Liv Van Thuyne et Serge Martin ¦ Le génie des ingénu.e.s [acte I]
Pour inaugurer ce feuilleton, je m’entretiens avec Liv Van Thuyne, 22 ans, élève de 1ère année à l’école Serge Martin. Malgré son jeune âge, elle s’est déjà frottée au large spectre des arts, sensible aux subtilités qu’offre chacun d’eux. En écho, la magie de la pensée concentrée du maître Serge Martin, qui dit tant en si peu de mots.
Le théâtre-zèbre de Marielle Pinsard
Marielle Pinsard m’a offert mon premier plongeon théâtral. Alors que l’année 2001 allait s’éteindre, Marielle mettait le feu aux poudres avec Comme des couteaux, pièce dont elle était à la fois l’auteure et la metteure en scène.
Michel Vinaver, homme de l’être
Dramaturge et écrivain, mais aussi ancien chef d’entreprise, Michel Vinaver s’est éteint ce 1er mai à 95 ans. En hommage, les extraits d’un entretien accordé il y a quelques années.
Bienvenue dans la 4e dimension de Lucas Savioz! – Rétrofuturiste (VI)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce sixième volet, on traverse l’écran en compagnie de Lucas Savioz.
Faim de séries? La RTS mijote petits et grands plats…
Pandémie ou pas, la loi des séries continue de s’imposer en Suisse comme ailleurs. Entre audaces calculées et contraintes diverses, la RTS trace sa voie dans un univers qui est aussi synonyme d’emplois.
Guillaume Prin, pour un théâtre nomade fait maison – Rétrofuturiste (V)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce cinquième épisode, on embarque à bord du camion-théâtre de Guillaume Prin.
Jean-Louis Johannides, into the wild – Rétrofuturiste (IV)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Pour ce 4e volet, on part à la conquête des grands espaces aux côtés de Jean-Louis Johannides.
Alain Borek fait jeu de tout bois – Rétrofuturiste (III)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Ce troisième volet donne la parole au comédien Alain Borek.
Isabelle Vesseron, l’utopie à tout prix – Rétrofuturiste (II)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Deuxième épisode avec la comédienne Isabelle Vesseron.
Lucie Zelger ou l’art du contrepoint – Rétrofuturiste (I)
Signée Laure Hirsig, la série “Rétrofuturiste” questionne les comédien.ne.s sur leur passé et les invite à scruter l’avenir. Un voyage des racines jusqu’à l’horizon qu’inaugure la comédienne Lucie Zelger.
Mali Van Valenberg se mêle au vent
Série “J’ai deux amours” (VI). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour cet ultime volet, Laure Hirsig parle écriture avec Mali Van Valenberg.
Alexandra Marcos, voix double
Série “J’ai deux amours” (V). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce nouveau volet, Laure Hirsig suis les “voies” d’Alexandra Marcos.
Paroles de scénaristes : où en est la Suisse?
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.
La Manufacture: la conquête de l’espace
Depuis sa création en 2003, la Haute école des arts de la scène, implantée à Lausanne, n’a cessé de déployer le champ de ses recherches artistiques tout en multipliant ses filières. Au point qu’elle se sent désormais un peu à l’étroit entre les murs de l’ancienne usine de taille de pierres précieuses.
Sébastien Ribaux, l’amour de la psyché
Série “J’ai deux amours” (IV). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile le “double je” de Sébastien Ribaux.
Delphine Lanza, au Pays des merveilles
Série “J’ai deux amours” (III). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Laure Hirsig dévoile les “multiples palettes” de Delphine Lanza.
Noémie Griess, au plateau et au micro
Série “J’ai deux amours” (II). Parce qu’il vaut mieux avoir plusieurs cartes dans son jeu, certain.e.s comédien.ne.s partagent leur temps entre plusieurs activités. Pour ce deuxième volet, Laure Hirsig échange avec Noémie Griess sur ce “double jeu”.
Garance La Fata, l’esprit boomerang
Série “J’ai deux amours” (I). Parce que la vie ne s’arrête pas à la scène, certain.e.s comédien.ne.s s’emploient à jouer un rôle bien ancré dans le réel. Pour ce volet inaugural, Laure Hirsig échange avec Garance La Fata sur ce “double jeu”.
Joël Hefti, portrait extérieur
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce sixième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Joël Hefti.
Roberto Garieri, de chair et de mots
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce cinquième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Garieri.
Le parler swing de Roberto Molo
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce quatrième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Roberto Molo.
Djamel Bel Ghazi, tempête sous un crâne
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce troisième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Djamel Bel Ghazi.
Aux Teintureries, Nathalie Lannuzel fait “bouger les lignes”
Ouverte en 1997 sous l’impulsion de François Landolt, l’école supérieure de théâtre Les Teintureries à Lausanne cultive l’altérité et valorise l’audace. Rencontre avec sa directrice artistique, Nathalie Lannuzel.
Xavier Loira, dandy cash
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce deuxième volet de la série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien Xavier Loira.
Boubacar Samb, sentinelle sans tabou
Quand on est comédien.ne, un particularisme ethnique, morphologique, biographique ou culturel représente-t-il un atout? Dans ce premier volet d’une série intitulée “Mon truc à moi”, Laure Hirsig pose la question au comédien d’origine sénégalaise, Boubacar Samp.
Carlo Brandt, l’homme renversé (II)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Second et dernier chapitre d’un entretien sans fard.
Carlo Brandt, l’homme renversé (I)
Pour nous, Carlo Brandt a prêté ses traits au visage inquiet et brut du monde. Comédien d’exception, il se livre dans un portrait intime dressé par Laure Hirsig. Premier chapitre.
Julia Perazzini chatouille l’invisible – Fatal(e)s VI
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce dernier volet, elle se laisse entraîner par la comédienne Julia Perazzini dans les limbes de l’enfance.
Isabelle Caillat au coeur de la crise
La comédienne genevoise s’impose en femme de tête et de coeur dans « Cellule de crise », nouvelle série signée Jacob Berger qui nous dévoile les arcanes de l’humanitaire. Entretien à la veille de la diffusion.
Prune Beuchat, comme un ouragan – Fatal(e)s V
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Pour ce 5e volet, on croque dans une Prune qui ne compte pas pour des prunes!
Olivier Lafrance, entretien avec un vampire – Fatal(e)s IV
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Le comédien Olivier Lafrance se prête à ce jeu d’ombre.
“Je suis pour les quotas d’auteur.e.s suisses”
A la suite de notre enquête sur le statut de l’auteur.e en Suisse romande, le dramaturge et metteur en scène Julien Mages défend l’idée d’une écriture typiquement “suisse”.
Pour Camille Giacobino, le ciel peut attendre – Fatal(e)s III
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig place ses entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Amour et mort, deux thèmes que fréquente régulièrement Camille Giacobino, comme comédienne ou comme metteuse-en-scène.
Y’a-t-il encore un.e auteur.e dans la salle?
Acteur.trice à la fois central et à part, l’auteur.e d’un spectacle ou d’un film doit composer avec des contraintes qui laissent peu de place à l’ego. Trois d’entre eux/elles nous parlent de leur pratique.
Cédric Leproust, le Garçon et la Mort – Fatal(e)s II
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig poursuit sa série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Au comédien Cédric Leproust de nous entraîner dans le territoire des ombres.
Julia Batinova, l’art de la fougue – Fatal(e)s
Avec “Fatal(e)s”, Laure Hirsig inaugure une nouvelle série d’entretiens sous l’égide d’Eros et Thanatos. Première à s’y coller, la comédienne Julia Batinova.
Alain Mudry, colosse au clair de lune
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce sixième “Traversée en solitaire”, on se met sur orbite avec Alain Mudry.
Serge Valletti brise le glas à Avignon
Acteur, auteur, scénariste aux côtés du réalisateur Robert Guédiguian, Serge Valletti a mis du baume aristophanesque sur les plaies du festival avorté. Rencontre.
Arblinda Dauti, la perle noire
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce cinquième “Traversée en solitaire”, on se fait la belle avec Arblinda Dauti.
David Valère, l’homme debout qui met le chaos K.O.
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce quatrième “Traversée en solitaire”, on fend les flots avec David Valère.
Olivia Csiky Trnka, l’extra-terrienne
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce troisième “Traversée en solitaire”, on décolle aux côtés d’Olivia Csiky Trnka.
Raphaël Vachoux, sans peur ni reproche
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude dans leur parcours et leur pratique. Pour ce deuxième “Traversée en solitaire”, on embarque aux côtés de Raphaël Vachoux.
Jacques Michel, l’échappée belle
En six décennies de carrière, le comédien a endossé tous les costumes. Acteur dans tous les sens du terme, il a construit une histoire qui déborde la sienne, celle du théâtre romand. Portrait.
Lola Giouse, Miss en tropisme
La “crise de la quarantaine” a donné l’occasion à Laure Hirsig de questionner comédiennes et comédiens sur la solitude, ses charmes comme sa nocivité dans leur parcours et leur pratique. Pour cette première “Traversée en solitaire”, on largue les amarres avec Lola Giouse.
Françoise Boillat La Dame du lac – Le théâtre dans la peau (VI)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Sixième acte avec la comédienne Françoise Boillat.
Un dernier café avec Michel Piccoli
L’acteur nous a quitté le 12 mai, à l’âge de 94 ans. En guise d’hommage, des extraits inédits d’un entretien accordé à Lionel Chiuch à l’occasion de la tournée de “Minetti”, de Thomas Bernhard.
Julien TSONGAS Préda(c)teur- Le théâtre dans la peau (V)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Cinquième acte avec le comédien Julien Tsongas.
Sandro De Feo Mutant mutin mutique-Le théâtre dans la peau (IV)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Quatrième acte avec le comédien Sandro De Feo.
“Il reste dans la culture une sorte de mépris de classe”
Après un septennat à la tête du GIFF, Emmanuel Cuénod s’apprête à en remettre les clés. Dans un long entretien sans langue de bois, il nous parle du festival genevois et donne quelques coups de griffe à la politique culturelle suisse.
François Revaclier Le spirituel danse l’art – Le théâtre dans la peau (III)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Troisième acte avec le comédien François Revaclier.
Valérie Liengme La créature – Le théâtre dans la peau (II)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Deuxième acte avec la comédienne Valérie Liengme.
Joëlle Fontannaz La magnétique au magnéto – Le théâtre dans la peau (I)
Signé Laure Hirsig, (IN)CARNATIONS est un feuilleton qui donne la parole autrement à celles et ceux dont la voix publique s’est tue un vendredi 13. Premier acte avec la comédienne Joëlle Fontannaz.
Monica Budde, la voix libre
D’Andromaque de Racine au personnage de A de Sarah Kane, la comédienne Monica Budde campe des femmes qui, comme elle, ne s’en laissent pas conter. Portrait en toute liberté.
Braqueur de banques!
Alors que la saison 2 de « Quartier des banques » débarque sur les écrans, son réalisateur, Fulvio Bernasconi, nous parle de son rapport aux comédien(ne)s.
“Molière écrit pour sauver les meubles”
Aussi à l’aise chez Molière que chez Ionesco, Michel Bouquet, 94 ans, a voué sa vie aux auteurs. Il les évoque ici.
“L’avantage ici, c’est le Système D”
A la Chaux-de-Fonds, pays des merveilles mécaniques, on croise moins de lapin blanc que de drapeau noir. La comédienne Aurore Faivre brandit celui d’un théâtre qui ose et qui place l’humain au centre.
“Il faut rester punk dans l’âme” – Cherchez l’enfant avec Fréderic Polier
Acteur, metteur en scène, raconteur d’histoires et tricoteur de fictions, Frédéric Polier continue de croiser le fer pour un théâtre généreux et rebelle.
Daniel Vouillamoz: “Nous vivons l’époque du théâtre selfie”
Avec l’amour, la haine n’est jamais très loin. Acteur, auteur, metteur en scène mais aussi musicien, Daniel Vouillamoz effeuille volontiers la marguerite quand il parle de théâtre, cet « art pathétiquement inutile et pourtant essentiel ».
Gilles Tschudi: “C’est vrai, je ne connais pas de barrière”
Acteur puissant et subtil, Gilles Tschudi n’hésite pas à se mettre à nu, comme dans « Souterrainblues », mis en scène par Maya Bösch il y a près de dix ans au Grütli. Mais l’homme dévoile volontiers aussi ce qui « l’agit » et dresse ici une véritable métaphysique du jeu.
Jean-Luc Borgeat: “Le personnage, je ne sais pas ce que c’est”
Acteur, metteur en scène, écrivain, Jean-Luc Borgeat ne boude la parole que lorsqu’il se pose au bord d’un cours d’eau pour pêcher à la mouche.
Théâtre des Osses, théâtre de chair
On prend les chemins de traverse jusqu’à Givisiez pour y rencontrer Geneviève Pasquier et Nicolas Rossier. Leur nouvelle saison regarde la planète en face.
Sarah Marcuse: Tribulations avignonnaises
En 2018, la comédienne et metteure en scène genevoise Sarah Marcuse s’est frottée au Festival Off. Elle en rapporte un témoignage fort que nous reproduisons ici avec son aimable autorisation.
Carole Epiney, névrosée à temps partiel
Elle était impeccable dans « Les névroses sexuelles de nos parents ». La valaisanne Carole Epiney affronte les aléas de la vie de comédienne romande avec une belle énergie.
On ne peut pas être aimé par tout le monde
Difficile, l’exercice du casting? Pour comedien.ch, Nathalie Chéron, trente ans à chercher la perle rare, livre quelques « trucs » pour faire baisser la pression.
Il y a plus de compagnies que de films
Critique à la Tribune de Genève, Pascal Gavillet est un habitué du cinéma suisse, dont il connait bien les mécanismes. On fait le point avec lui.
Serge Martin cultive l’esprit d’équipe
Pour celui qui a créé sa propre école à Genève il y a maintenant plus de 30 ans, le théâtre reste une histoire de partage.