On se voit à la Première?
En ces temps de Covid-19, on se souvient avec nostalgie d’un autre type de fièvre, plus stimulante, celle qui accompagne la première présentation d’une œuvre au public. C’est souvent à cet instant que tout se joue.
En ces temps de Covid-19, on se souvient avec nostalgie d’un autre type de fièvre, plus stimulante, celle qui accompagne la première présentation d’une œuvre au public. C’est souvent à cet instant que tout se joue.
Parmi les victimes de la pandémie, une certaine idée de l’art et des artistes. A l’heure des bilans, celui de la culture ressemble parfois à un dépôt de bilan.
Parce qu’il s’agit de “jouer”, le métier de comédien ne peut qu’attirer les enfants. Si certains ont des carrières éphémères, d’autres confirment par leur talent qu’il s’agit aussi d’une “vocation”.
Sur un plateau comme à l’écran, le trouble participe bien souvent de la réussite d’une oeuvre. A condition, bien sûr, que l’on évite les sorties de piste…
Il y aura – du moins on peut l’espérer – un après Covid-19. En attendant, la crise que traverse le théâtre et celles et ceux qui en font métier semble démontrer que cette discipline n’est pas immortelle. En cela, elle est identique à son double qu’est la vie.
Soumis aux contraintes sanitaires, les festivals parviendront-ils à garder l’esprit de fête? Bien décidés à en découdre, leurs organisateurs s’activent pour trouver des parades.