Ils sont une poignée de films à se disputer le palmarès des pires tournages. Parmi eux, le “Don Quichotte” de Terry Gilliam ou encore “Apocalypse Now” de Francis Ford Coppola. Mais dans le genre panade, on a rarement fait mieux que “Les Amants du Pont-Neuf”, de Leos Carax, sorti il y a tout juste 30 ans.
La Suisse est l’invitée d’honneur du 9e Marché internationale du film classique (MIFC), qui se déroule à Lyon du 12 au 15 octobre prochain. L’occasion d’évoquer un riche passé mais aussi de préparer l’avenir.
L’épidémie de Covid-19 a-t-elle porté un coup fatal à une certaine « manière de faire» du théâtre ? Aujourd’hui, alors que l’avenir reste incertain, c’est tout l’écosystème du théâtre qui est frappé de plein fouet.
Faut-il aimer ses acteurs, ses actrices, pour faire un bon film ou un bon spectacle ? Pas forcément, nous répondent en choeur théâtre et cinéma dont l’histoire est ponctuée de conflits.
La 46e cérémonie des Césars s’est achevée sur un nouveau malaise. A se demander si ce type de cérémonie, entre congratulations, compétition et meeting, n’est pas devenu tout simplement obsolète.
En ces temps de Covid-19, on se souvient avec nostalgie d’un autre type de fièvre, plus stimulante, celle qui accompagne la première présentation d’une œuvre au public. C’est souvent à cet instant que tout se joue.